VOYAGE OCEAN INDIEN by TOURISMER
Voyage responsable La Thaïlande
La Thaïlande est réputée pour ses plages tropicales, ses palais royaux opulents, ses ruines anciennes et ses temples ornés présentant des statues de Bouddha. La thailande offre des visages différents : la trépidante Bangkok, véritable musée à ciel ouvert, l’ancien Royaume du Siam ou les îles paradisiaques du sud.
La tradition de l’hospitalité, la cuisine Thaï reconnue comme l’une des plus savoureuses du monde vous enchanteront.
Voici déjà deux décennies que le pays du sourire a abordé le virage du tourisme responsable. Protéger durablement la nature, tout en assurant le développement du tourisme communautaire, de la gastronomie thaïlandaise ainsi que le bien-être de chacun est le défi que s’est lancé la Thaïlande et est en passe de gagner.
Des centres visent également à éduquer les visiteurs sur la vie marine et les écosystèmes , face au surtourisme dans certaines régions, de nouvelles règles ont été mises en place.
Nous soutenons
Bangkok (en thaï : กรุงเทพฯ, Krung Thep, « Cité des anges », est la capitale de la Thaïlande, son nombre d’habitants est supérieur à 9 millions, plus de 15 millions de personnes habitent l’aire métropolitaine de la capitale.
La date officielle de sa fondation par Rama Ier, premier roi de la dynastie Chakri, est le , sur l’autre rive du fleuve. Bangkok s’inscrit au XIXe siècle au cœur du mouvement de modernisation du royaume de Siam, alors que le pays subit la pression des nations colonisatrices européennes. La ville est ensuite au XXe siècle le théâtre de l’évolution politique de la Thaïlande, notamment avec l’abolition de la monarchie absolue, l’adoption d’une constitution, et plusieurs soubresauts politiques parfois violents. La ville a connu une formidable croissance à partir des années 1960 et exerce aujourd’hui une influence centrale sur la vie politique, économique, culturelle, universitaire et médiatique de la Thaïlande.
A voir absolument:
Fondée en 1350 ou 1351 par le roi U-Thong elle devint la capitale du royaume d’Ayutthaya, ou Siam au XVIIIe siècle vers 1700, elle figurait parmi les plus grandes cités du monde, avec près d’un million d’habitants. Détruite en 1767 par l’armée birmane, elle perd son rôle au profit de la nouvelle capitale, Bangkok, et est aujourd’hui principalement connue pour les ruines de ses temples dans un parc historique, a voir absolument ces 6 temples :
L’île de Koh Tao est réputée pour la plongée, (avec ou sans bouteille), la randonnée et l’escalade. La partie Ouest de l’île, une plage de sable blanc qui s’étend sur 1,7 km, attire de nombreux touristes.
Dans le Sud, Chalok Baan Khao est remarquée par son calme et la beauté des paysages.
A voir : de magnifiques blocs de granit qui se trouvent dispersés sur l’île de Koh Tao, sur les plages et dans la forêt.
Des falaises attirent de nombreux grimpeurs qui souhaitent profiter de ces magnifiques décors pour expérimenter ce sport .
Sukhothaï fut la capitale du premier royaume thaïlandais suzerain sur le bassin du fleuve Chao Phraya, à l’ouest sur la baie du Bengale et sur la péninsule entière. Située à environ 450 kilomètres au nord de Bangkok, l’immense cité de Sukhothaï est aujourd’hui en ruine. Le palais en bois de ses rois a disparu. Toutefois, la ville possède encore de nombreux vestiges de temples, construits en latérite et en brique. La plupart des édifices qui ont été découverts, et pour partie relevés, se trouvent à l’intérieur d’un rempart renforcé de douves. Mais de nombreux autres bâtiments, disséminés dans les rizières environnantes, attendent d’être dégagés de l’enveloppe de terre qui les recouvre.
Bâtie sur les rives de la Yom, à une soixantaine de kilomètres au nord de Sukhothaï, Sri Satchanalai était la principale ville satellite du royaume. Cette cité était un centre de potiers. Dans les faubourgs de la ville, on produisait la célèbre céramique dite Sangkhalok.
La Baie de Phang Nga est une baie de la mer d’Andaman de 400 km2 située dans le sud de la Thaïlande. Une grande partie de la baie est protégée par l’intermédiaire du parc national de Ao Phang Nga. Il y a plus de 200 km2 de mangrove. Une des forêts de mangrove parmi les plus grandes et les mieux préservées de Thaïlande. On y dénombre aussi 42 petites îles et îlots.
Au milieu d’un groupe d’une douzaine d’îles se trouvent la curiosité touristique incontournable : les deux petites îles escarpées couvertes de forêt tropicale nommées Khao Phing Kan et le rocher en forme de clou Ko Tapu.
D’autres îles, ayant souvent des falaises calcaires impressionnantes, peuvent être admirées : Panyi (connu pour son village de pêcheurs sur pilotis et ses terrains de foot flottants) et Hong, Raya Ring, Talu, Phanak, Boi Noi et Boi Yai.
Cette région abrite de plus de nombreux sites archéologiques.
Jean Boulbet décrit la baie comme l’un des plus beaux endroits de la planète et ajoute que « … cette dernière s’est vraiment surpassée dans l’agencement de ses décors… ».
On peut voir des peintures rupestres à Khao Phra At Tao, Khao Nak, Khao Raya et Khao Khien . En 2020, des peintures préhistoriques d’au moins 3000 ans ont été découvertes sur l’île de Koh Talu.
Les îles Phi Phi sont un petit archipel de Thaïlande situé dans la mer d’Andaman au large de la province de Krabi, à laquelle il appartient. Très touristique, il comporte deux îles principales, Ko Phi Phi Don et Ko Phi Phi Le, les autres étant essentiellement des rochers.Les sites de plongées des îles Phi Phi sont classés parmi les plus beaux du monde.
Phnom Rung était le nom original du volcan, mais aussi celui du temple depuis le XIe siècle, le nom apparaît, sur quatre inscriptions en alphabet khmer découvertes sur le Prasat Phnom Rung. Le nom Phnom Rung dérive du mot khmer Vnam Rung qui signifie montagne large, de même que les mots S-Thuadri et S-Thula Saila écrits au moyen d’autres alphabets khmer en sanskrit.
Le Prasat Phnom Rung est un sanctuaire dédié à la secte Pasupata de l’hindouisme sivaïte. La construction au sommet du Khao Phnom Rung est comparée à la résidence du dieu Shiva sur le mont Kailash.C’est « le plus vaste et le mieux restauré des temples khmers de Thaïlande » (dixit le Lonely Planet).
L’archipel est composé en tout de 51 îles situées entre 20 et 70km de la côte thaïlandaise. Il abrite 32 espèces de poissons et 105 espèces d’oiseaux.
Le parc recèle environ 25% des espèces de poissons dans le monde. On peut y observer : requins, raies, mérous, anguilles, carpes, poisson-chats, saumons, perches, anges de mer et poissons papillons, mais également dugongs, dauphins, cachalots et petits rorquals.
En dehors du traditionnel snorkelling (palme, masque et tuba), vous pouvez faire de la vrai plongée en bouteille.
Située au cœur de la réserve naturelle du parc national marin de Tarutao , l’île fait partie de l’archipel d’Adang, un groupe d’environ 10 îles entièrement inhabitées, Koh Lipe étant la seule habitée. Koh Lipe est considérée comme l’une des plus jolies de la mer d’Andaman, renommée pour ses plages de sable blanc et ses eaux d’un bleu turquoise . La population originelle de l’île est constituée majoritairement par les Chao communément appelés « les Gitans de la mer ». Ils y vivent principalement de la pêche et du tourisme.
Chiang Mai, surnommée la « Rose du Nord », est la deuxième plus grande ville de Thaïlande, centre culturel et économique du Nord du pays et capitale de la province de Chiang Mai.
Son importance historique provient de sa situation stratégique près d’une branche méridionale de l’ancienne route de la soie, et ce longtemps avant l’afflux moderne des visiteurs étrangers. La ville a été un centre renommé pour son artisanat, les ombrelles, les bijoux (en particulier en argent) et ses sculptures sur bois.
A voir absolument :
Wat Phrathat Doi Suthep est un temple bouddhiste de la province de Chiang Mai. Le temple est désigné sous le nom de Doi Suthep ( le nom de la montagne sur laquelle il est localisé). Le temple est un site sacré pour les Thaïlandais. Le temple offre une belle perspective sur la ville de Chiang Mai. Le temple peut être accessible à l’aube pour voir le lever du soleil sur la ville.
Wat Chiang Man est le temple le plus ancien de Chiang Mai. Ce temple abrite deux statues de Bouddha très importantes et vénérées, le Phra Sila (une statue Bouddha de marbre) et le Phra Satang Man (une statue de Bouddha de cristal).
Le Wat Chedi Luang temple du grand stûpa, a été fondé en 1401 ; il est dominé par un grand chedi du type de Lanna, dont la construction s’est étalée sur plusieurs années. Un tremblement de terre l’a endommagé au XVIe siècle, et seuls les deux tiers inférieurs sont encore visibles. À l’origine, l’ensemble comportait trois temples, le Wat Chedi Luang, le Wat Ho Tham et le Wat Sukmin.
Chiang Raï , littéralement la Ville majeure, est une ville du nord de la Thaïlande située sur la Kok. L’ endroit est apprécié pour l’hospitalité de ses habitants et son côté authentique. A 13 kilomètres au sud, se trouve le Wat Rong Khun, plus connu sous le nom de « temple blanc ». Le Wat Rong Khum est l’un des temples les plus impressionnants de Thaïlande. Sa construction date de la fin du XX siècle, sur les ruines d’un ancien temple.
Kanchanaburi est une ville de l’ouest de la Thaïlande comptant 52 000 habitants. Elle est située au confluent de la rivière Kwai Noi avec la rivière Kwaï Yai, où fut construit en 1942 le célèbre pont sur la rivière Kwaï par des prisonniers de guerre sous le commandement de troupes japonaises. Un monument et deux musées sont visibles à Kanchanaburi : le Thailand-Burma Railway Museum et le JEATH War Museum, à propos du pont lui-même. La voie ferrée de la mort (Death Railway), utilisée par le transport ferroviaire en Thaïlande, et un cimetière allié de la Seconde Guerre mondiale se trouvent également à Kanchanaburi.
La langue parlée est le thaï, parlée par 60 millions de personnes qui est proche du chinois, et qui s’est ensuite enrichie de khmer, de sanscrit et de pali. C’est le thaï de Bangkok qui est la langue officielle, mais il existe des patois locaux, dont 3 sont particulièrement nets et possèdent des accents vraiment différents : le thaï du nord, celui du nord-est, et celui du sud.
Elle comporte un alphabet spécifique de 44 consonnes et 11 voyelles calligraphiées en rondeur ainsi que des sonorités très différentes des sonorités occidentales, compliquées à différencier et à reproduire.
L’anglais est la seconde langue administrative et la langue commerciale, et est parlé en seconde langue par 3, 5 millions de personnes.
95 % des Thaïlandais sont bouddhistes, 5 % des musulmans.
Peinture
Les artistes thaïs ne possédaient au départ qu’un ensemble de cinq couleurs primaires (le rouge, le bleu, le jaune, le blanc et le noir), dont ils se servaient pour produire d’autres sortes de pigments. Ces pigments permettaient alors aux artistes de créer des peintures murales, aussi utilisées pour les bannières et les illustrations. Les représentations étaient plus ou moins grandes selon le degré d’importance, l’utilisation de l’ombre n’existait pas encore et les techniques picturales étaient très évoluées pour l’époque. Dans une optique religieuse et traditionnelle, la peinture thaï orna les murs des temples et des palais, tout comme les illustrations des livres. La religion, ainsi que la royauté, prit rapidement une place importante au sein même des peintures afin d’y faire ressortir la beauté des objets et des richesses.
Au XIXe siècle, les pigments s’enrichirent et de nouvelles techniques, venues d’Occident, déferlèrent pour donner aux peintures un aspect plus moderne. L’utilisation des feuilles d’or apporta plus de lumière aux représentations et les couleurs plus de détails. Malgré la persévérance du style traditionnel, certains artistes réussirent l’exploit de créer leur propre style, né de la fusion entre le style traditionnel et le style occidental, un style unique alliant tradition et modernité.
Sculpture
Durant la période de Sukhothaï (XIIIe–XVe siècle), les sculptures représentaient généralement Bouddha assis. Leur taille pouvait aller de onze mètres de large pour de grandes statues, à la taille d’un pouce pour de petites amulettes. Ces sculptures étaient faites le plus simple possible afin de garantir la sérénité énigmatique émanant du Bouddha.
Céramique
Des fouilles ont déterré des poteries datant de plus de 5 000 ans dans le Nord de la Thaïlande.
Les poteries les plus simples étaient principalement utilisées pour la cuisson et le stockage des aliments. Les plus sophistiquées, issues de techniques chinoises introduites il y a 700 ans, avaient une utilité plus décorative.
Les traditions étaient différentes selon les régions. La coutume voulait que soient placés au-dehors des temples et des maisons des pots pour étancher la soif des étrangers de passage.
Dans le Nord-Est, des poteries brun foncé sont produites dans des fours sous toutes les formes et sont connues pour leurs belles décorations aux couleurs jaunâtre et verte, ornées de dragons et de motifs floraux.
À la fin du XIIIe siècle, la technique du bleu-vert céladon fit son apparition. Cette technique est encore utilisée de nos jours selon les mêmes procédés utilisés dans l’ancien temps.
Tissage
Selon la tradition, le tissage ne peut s’établir sans avoir fabriqué au préalable du tissu, comme la soie (fabriquée grâce aux vers à soie). Par la suite, la soie peut être colorée, puis tissée par les mains expertes des tisseuses. Se rapprochant de la soie, il existe aussi une autre sorte de tissu, le Medmee. Ce tissu est devenu aussi célèbre que la soie et est une spécialité très reconnue dans le Nord Thaïlandais. L’industrie de la soie prospéra jusqu’au XIXe siècle, puis connut un long déclin du fait d’une trop grande concurrence chinoise et japonaise.
Dans les années 1950, un Américain, Jim Thompson, acquit une renommée internationale en relançant des industries de soie. Aujourd’hui c’est au Nord de la Thaïlande que se situe la plus grande société de tissage fait main au monde, créée par la compagnie de Jim Thompson.
Elle est alors devenue, peu à peu, le plus connu de tous les pays artisanaux au niveau mondial.
Musique
Depuis l’Antiquité, les instruments de musique thaïlandais étaient fabriqués par le peuple, selon leurs propres idées et moyens (matériaux peu coûteux : bambou, bois…). Plus tard, d’autres cultures s’ajoutèrent à celle-ci, comme la culture indienne, apportant une variété plus importante d’instruments et de chants.
Durant la période d’Ayutthaya (XIVe–XVIIIe siècle), les chants, qui étaient accompagnés généralement de quatre à huit musiciens, s’améliorèrent au niveau des techniques vocales et dans la durée. Aujourd’hui encore, les chants de cette époque sont joués et toujours d’actualité.
Durant la période de Bangkok (XIXe siècle), après les chants, qui étaient accompagnés alors de douze musiciens, furent adaptés dans des théâtres, où des représentations impressionnantes étaient jouées.
Avec le temps, d’autres cultures apparurent en Thaïlande, tels que celles des pays d’occident ou des États-Unis, et apportèrent à la culture thaïlandaise une variété plus importante d’instruments (la basse-batterie, le violon et l’orgue) et de chants. Au début du XXe siècle, le musicien Phra Chen Duriyang créa le premier orchestre de Thaïlande et enseigna à de nombreux jeunes musiciens. Depuis les années 1920 jusqu’à nos jours, plusieurs autres orchestres furent alors créés, les musiciens thaïlandais améliorèrent leurs styles et affinèrent leurs techniques.
La musique prit une grande importance dans la royauté, lorsque le roi Bhumibol Adulyadej, alors lui-même musicien de jazz reconnu, devint le premier membre d’honneur d’Asie de l’institut de Musique et des Arts de la Ville de Vienne (et le 23e dans le monde). Aujourd’hui, la musique reste encore importante dans la royauté. La Princesse Maha Chakri Sirindhorn est une artiste talentueuse de la musique classique.
Théatre
Au sein de la culture dramatique thaïlandaise, se distinguent plusieurs sortes de théâtre. Depuis la période d’Ayutthaya se sont créés quatre styles différents de théâtre, le khon, le lakhon, le nang talung et le nang yai (et leurs marionnettes hun).
Le khon était joué uniquement par des hommes, même lorsque les personnages représentaient des femmes. Ce genre de théâtre classique mélange jeu d’acteur et danse. La musique joue aussi un grand rôle dans les représentations car elle est à l’origine des actions exécutées par les acteurs, comme marcher, courir, rire…
Les acteurs ne portant pas de masque ont à certains moments le droit à la parole, au contraire des acteurs masqués. Pour ces derniers, une chorale chante et récite des versets accompagnant leurs actions. Les masques de ces acteurs étaient richement décorés d’or, de laque et de bijoux. Chacun d’entre eux dévoilait une personnalité différente grâce à la signification de sa mimique. Les costumes, tout aussi riches et dignes d’habits royaux, étaient particuliers par leur couleur qui conférait aux acteurs le titre de personnages principaux.
Les représentations étaient très longues (environ 20 heures), ce qui poussa à deux jours la durée d’une seule représentation. Plus tard, sous Rama II, les épisodes de l’épopée raccourcirent considérablement, jusqu’à trois heures par représentation.
Le lakhon, est plus expressif dans ses représentations. Le corps y est en constant mouvement, fluide, gracieux, ce qui donne à la danse un caractère émotionnel sans précédent. Le port du masque est réservé aux créatures fictives.
Le lakhon comporte trois types : le lakhon chatri, le lakhon nok et le lakhon lai.
Le nang yai est un théâtre d’ombres populaire du centre de la Thaïlande, où de grands personnages (marionnettes) sont projetés sur un écran blanc et manipulés par des acteurs cachés en dessous de l’écran. Les marionnettes appelées Hun étaient manipulées par en dessous. Leurs mouvements sont à l’origine des danses dans les théâtres khon et lakhon.
Proche du nang yai, mais situé dans le sud de la Thaïlande, le nang talung, possède des marionnettes plus petites, dont certaines parties du corps sont mobiles (jambes, bras, bouche…). Les manipulateurs, acteurs et chanteurs, cachés du public, donnent par leurs chants et leur talent d’acteur, aux représentations un tempo saisissant.
La cuisine thaïlandaise, bien que semblable en certains points à celle de ses voisins chinois, indiens et birmans, se démarque par des saveurs et des ingrédients originaux, tels que le curry, la menthe, la citronnelle, la coriandre ou encore le basilic rouge. Pimentée à l’excès pour le palais occidental et presque toujours accompagnée de sauces ou fumets de poisson (nam pla), elle rencontre un succès international croissant.
Les 8 plats emblématiques de la Thaïlande:
Le Pad Thaï
Plat emblématique de la Thaïlande. Ces nouilles sautées font même partie du classement des plats préférés au monde. Pour la petite anecdote, le Pad Thaï est né par décret à la demande du Premier ministre Plaek Pibulsonggram, à la fin des années 30 !
Le Khao Phat
Le plat le plus populaire en Thaïlande ! du riz frit avec des légumes. On l’accompagne généralement de viande, de poisson ou de tofu.
Le Som Tam
Il fait partie des plats thaïlandais les plus épicés : une salade de papaye verte coupée en lamelles que l’on agrémente de sauce de poisson, de tomates, de citron, de cacahuètes et de petits piments très puissants. le résultat est un feu d’artifices pour les papilles !
Le Tom Kha
Cette soupe se mijote à partir de lait de coco que l’on agrémente de racine de galanga, de feuilles de combava, de feuilles de kaffir, de citronnelle et de coriandre. on peut y mettre du poulet, des fruits de mer, du porc ou même du tofu.
Le Panang curry
Une pate de curry rouge aux saveurs d’arachide composé de piments secs, galanga, citronnelle, combava, coriandre, cumin, citron, d’ail et d’échalotes; cuisiné généralement dans du lait de coco dans lequel on ajoute de la viande, du poisson ou du tofu.
Le Pat Krapao
Un sauté parfumé au basilic thaï, rehaussé par du piment et une pointe de sauce d’huître, accompagné de riz et parfois d’un œuf au plat.
Le Massaman
Un des currys les plus doux que vous trouverez, il se constitue de pommes de terre, d’oignons, de cacahuètes, de viande ou poisson mijoté dans du lait de coco et de la pate de curry massaman.
Le Khao Niao ma mouang
… et le dessert : le riz gluant à la mangue, ou mango sticky rice.
D’après le site officiel du département gérant les parcs nationaux, le pays comptabilise à ce jour 148 parcs nationaux répartis dans toutes les provinces et regroupant à la fois les parcs terrestres et maritimes.
En voici une selection de 10 parcs:
Voici une selection de 7 randonnées superbes, de 4 à 6h environ:
Le réseau ferroviaire est assez dense, très économique et représente une occasion unique de partage avec les locaux.
Il permet aussi d’admirer différents paysages s et représente un bon compromis vitesse /confort. Son inconvénient est sa ponctualité hasardeuse. Il existe 4 lignes qui vous transportent d’une extrémité à une autre du pays. La plus utilisée est la ligne nord, qui relie Bangkok à Chiang Mai.
Pour les trajets longue distance, le bus est le moyen de transport privilégié, il emmène presque partout. Le réseau est très dense et la rotation des bus importante. Il y en a plusieurs types allant des bus dits VIP, au bus locaux au plancher parfois en bois !
C’est le moyen de transport le moins cher pour se déplacer en Thaïlande. Les billets en troisième classe sont très très bon marché. Par contre, les trains sont lents, leur vitesse moyenne est de l’ordre de 40 km/h et ils sont presque toujours en retard.
Bateaux en bois très caractéristiques à la Thaïlande qui doivent leur nom de bateaux « longue queue » à leur moteur et sa grande tige métallique au bout de laquelle se trouve l’hélice.
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