VOYAGE OCEAN INDIEN by TOURISMER
Voyage responsable Mozambique
Un voyage splendide dans des parcs naturels préservés , sur des îles paradisiaques, au contact de populations jeunes et dynamiques fières de leurs cultures.
Le Mozambique jouit d’une diversité biologique extraordinaire.
Désormais, l’engagement du pays en faveur de la conservation et plusieurs mesures coordonnées contribuent au déclin significatif du braconnage dans ce sanctuaire de biodiversité.
En voyageant responsable au Mozambique, vous contribuez activement à la conservation du pays ainsi qu’au développement des communautés locales.
Le pays est un fragile éco-systemes , qui n’a pas encore structuré son offre de tourisme, voici quelques conseils de bon sens : choisissez des lodges ayant une attitude sociale et écologique responsables. Visitez les villages et les projets communautaires (écoles, hôpitaux, agriculture, artisanat, etc.).
Dès avant l’an mil, de nombreux échanges commerciaux étaient réalisés avec les commerçants arabes mais aussi de l’Ouest de l’archipel indonésien. En 945, on voit arriver sur la côte du Mozambique un millier d’embarcations montées par des Waq-Waq qui viennent d’îles « situées en face de la Chine » chercher des produits et des esclaves zeng, mot arabe qui désigne à l’époque les habitants de la côte est de l’Afrique.
L’année 1498 marque l’arrivée du navigateur portugais Vasco de Gama. Peu de temps après, les Portugais installent des comptoirs et construisent des forts. La présence portugaise dure cinq siècles.
En 1964, le FRELIMO lance la guerre d’indépendance du Mozambique qui se poursuit dix ans.
Au terme de la guerre d’indépendance du Mozambique, le pays obtient son indépendance le 25 juin 1975, sous le nom de République populaire du Mozambique et devient un régime communiste que l’ancien mouvement indépendantiste, le FRELIMO, dirige en tant que parti unique. Samora Machel est élu président et met en place un certain nombre de réformes.
La première année de l’indépendance est pleine d’espoir, et le régime trouve de nombreux soutiens dans le camp socialiste (URSS, Cuba, Yougoslavie), comme dans la gauche occidentale. À partir de 1976 commence un conflit armé, qui dégénère dans une guerre civile sanglante. La RENAMO, anti-marxiste et soutenu par Rhodésie et l’Afrique du Sud, entretient une guérilla qui s’étend et fait près d’un million de morts en quinze ans.
Cela entraîne aussi le pays dans la faillite. Il devient pour les économistes le pays le plus pauvre du globe en 1986. À la fin de la guerre civile, en 1992, les accords de paix permettent l’instauration d’une démocratie de type occidental.
En 1995, le Mozambique entre dans le Commonwealth alors qu’il n’a jamais été administré par le Royaume-Uni, pariant sur les bienfaits d’une intégration économique plus poussée avec les six États anglophones qui l’entourent.
Armando Guebuza, du FRELIMO, est président de février 2005 à janvier 2015.
À partir de 2017, ont lieu dans le nord du pays plusieurs attaques de groupuscules islamistes que le gouvernement s’efforce de combattre.
Le président Filipe Nyusi, candidat du parti au pouvoir, le FRELIMO, est réélu en octobre 2019 pour un deuxième mandat de cinq ans avec 73 % des suffrages.
En mars 2019, le cyclone Idai provoque au moins 650 morts, des centaines de milliers de déplacés, plus de 1,8 million de personnes sous assistance humanitaire et de considérables dégâts économiques.
La langue officielle est le portugais. Les différentes ethnies ont leur propre langue dont la plupart sont des langues bantoues.
Le pays compte environ 101 ethnies, les plus importantes étant les Makondés, les Tsongas, les Yaos et les Shonas.
les principales langues sont : l’emakhuwa 26 %, le xichangana 11 %, l’elomwe 8 %, le sena du Mozambique 7 %,, et l’echuwabo 6,3 %. En ce qui concerne la langue portugaise, 50,4 % de la population sait la parler .L’Anglais est une langue étrangère très présente parmi les membres de l’élite du pays.
Les principaux cultes sont le christianisme pour 56 % (dont catholicisme 28 %) et l’islam pour 17,9 %, alors que 17,8 % de la population sont animistes et 8,2 % n’ont aucune religion.
Musique et danse
Le Timbila des Chopi est une tradition de musique orchestrale des communautés Chopi originaires de la province d’Inhambane Les Timbila sont des xylophones traditionnels en bois.
La marrabenta est une musique urbaine populaire du Mozambique. Elle nait dans le sud du Mozambique, notamment dans le quartier Mafalala de Maputo dans les années 1930,. La marrabenta s’inspire des musiques folkloriques mozambicaines et des rythmes plus modernes d’Afrique du Sud.
Source: http://africultures.com/
Littérature
On peut citer, José Craveirinha, né le mort le , est un journaliste, écrivain et poète mozambicain.Il est considéré comme le plus grand poète mozambicain du XXe siècle.
Peinture
Le Núcleo de Arte a été créé en 1936 dans le but de « diffuser l’éducation esthétique, coordonner et promouvoir le progrès de l’art dans la colonie », parallèlement à l’éducation artistique. Depuis les premières années d’activité, le Núcleo de Arte a promu diverses manifestations artistiques (arts plastiques, musique, théâtre, littérature…) et promu différentes expositions, dont les Expositions annuelles et les Salons d’inspiration française. De la même importance étaient les cours, animés par divers artistes membres du Nucleus, à des époques différentes et sur de nombreux sujets : dessin et peinture, sculpture, architecture, géométrie, …
Si dans les 10 premières années de la vie, le rôle des indigènes noirs et mulâtres au sein du Núcleo était celui de modèles ou du public en tant qu’assistants des blancs, depuis la fin de la seconde guerre mondiale où ils ont commencé à entrer en tant qu’étudiants et artistes.
Après le conflit mondial, l’art au Mozambique a réussi à évoluer grâce à sa connexion avec celui de l’Afrique du Sud, le Núcleo de Arte a organisé le 1er concours annuel d’art plastique et a commencé à atteindre son objectif le plus important et le plus concret : aider les artistes à obtenir leur diplôme et à lancer leur carrière. Enfin, l’art et les artistes indigènes ont réussi à obtenir leur juste part au sein du Centre, également dans le contexte d’exclusion et de division raciale et sociale inhérente à la société coloniale.
Dans les années 1960, grâce au Núcleo, la critique d’art est née au Mozambique, véhiculée par les journaux locaux.
Sculpture
Le peuple makondé est connu pour ses sculptures en bois au niveau international, en particulier certaines collections d’œuvres des années 1960.
Tissage
Les Capulanas sont au Mozambique depuis l’établissement des routes commerciales arabo-indiennes. Il etaient echangés avec les commerçants indiens pour se procurer d’autres marchandises. Ils existent en trois couleurs : rouge, blanc et noir. Le blanc représentait la protection des ancêtres, le noir représentait le mal et le rouge représentait l’esprit de guerre.
Ils ont ensuite évolués avec des motifs animaliers,géométriques, etc…
La cuisine du Mozambique est une cuisine d’Afrique de l’Est qui mêle influences africaines, indiennes et portugaises. Les fruits de mer et les viandes y sont à l’honneur, servis avec du riz, des frites ou des légumes. Parmi les plats traditionnels figurent xima, le delele et matapa.
Quelques plats emblematiques
La Xima plat traditionnel, c’est une purée faite à partir de farine de manioc et qui sert de pain pour accompagner les autres plats.
La Matapa : à base de feuilles écrasées, de cacahuètes et de crevettes, c’est aussi une recette traditionnelle.
Le Poulet à la zambézienne : il est mariné dans du citron, de l’ail et du piment, et arrosé d’eau de coco puis grillé.
Source: https://partir.ouest-france.fr/mozambique/cuisine
Déclaré parc National en 1971, l’ archipel de Bazaruto est doté d’un écosystème naturel unique lié à son isolement: forêt, savane, lacs, étangs et marais qui sauvegardent une faune et une flore diversifiées. Dès le 15ème siècle, elles furent réputées pour leurs perles et l’ambre gris.
Bazaruto, la plus grande île de l’archipel, a donné son nom à l’archipel . Longue de 32,5 km et large de 5 km, elle est constituée de dunes imposantes et de lacs intérieurs. Un phare centenaire aide les bateaux.
Benguerra, située à 1 km au sud de Bazaruto, mesure environ 12 km. Couverte de hautes dunes, de lacs intérieurs et de très belles plages . Ecureuils, singes et 164 espèces d’oiseaux vivent dans de petites forêts indigènes. Le récif de « Two miles », mondialement renommé pour la plongée se trouve à 2 km à l’est de Benguerra.
Magaruque, à 5,5 kilomètres de Benguerra, est bien plus petite. Elle offre un bon snorkeling au sud-ouest. En faire le tour est agréable et ne prend que quelques heures.
Santa Carolina, l’île du paradis, est le joyau de l’archipel, seule île corallienne de l’archipel. Les récifs coralliens sont à portée de palmes. Des eaux limpides sur 2,3 km de longueur !
Bangue, minuscule, est inhabitée. 3 500 Mozambicains résident sur les 4 autres îles.
La ville est réputée pour son architecture coloniale portugaise. Dans le centre de Pemba, un marché local propose des produits d’art et d’artisanat, comme de l’argenterie traditionnelle. Située dans la baie de Pemba, la ville a toujours été assez éloignée des grandes voies commerciales, ce qui lui a permis de préserver sa beauté naturelle. La plage de Wimbe est l’une des plus belles du Mozambique. Pemba est appréciée par les amateurs de plongée sous-marine en raison des récifs de corail qui se trouvent près de la côte.
Le Parc National de Gorongosa ( mont à 1 862m) offre une grande variété de paysages due à sa topographie spécifique : forêts tropicales, plaines arides, caldeiras, hauts plateaux, chutes d’eau et falaises verticales.
Après des guerres meurtrières, Gorongosa retrouve progressivement sa splendeur passée . Vous y verrez des éléphants, de nombreuses espèces d’antilopes ,gnous, phacochères, singes et près de 500 espèces de merveilleux oiseaux. La population de lions est croissante, tout comme celle des lycaons réintroduits dans le parc en 2018. Zèbres, buffles et léopards se font plus facilement visibles. Les espèces nocturnes comptent serval, genette, porc épic, civette.
Tofo est une petite ville du sud-ouest du Mozambique. La ville est située sur la péninsule de Ponto do Barra, dans la province d’Inhambane, à 22 km de la ville d’Inhambane. Auparavant village de pêcheurs, Tofo compte un hôtel et trois clubs de plongée sous-marine afin d’accueillir les touristes attirés par le littoral et les récifs proches qui grouillent de vie. Avec ses requins-baleines, ses raies mantas et ses tortues de mer, Tofo est une destination de choix de l’écotourisme.
Le parc protège 913 000 hectares de forêts côtières, de mangroves et de récifs coralliens. Sur terre, il y a des populations clairsemées d’éléphants, de lions, de léopards, de crocodiles et même de lycaons. Les habitats comprennent les montagnes, les forêts, les bois, la savane, les mangroves, les plages, les récifs coralliens et les herbiers marins. Le parc contient une riche variété de vie marine, y compris des tortues de mer, des dauphins et de nombreuses espèces de poissons. 375 espèces de poissons ont été identifiées, dont des syngnathes et des hippocampes menacés.
A l’origine territoire des Tsongas, tribu Banto, l’ile d’Inhaca accueille une population de pêcheurs à l’arrivée des portugais au 16ème siècle . L’île de Inhaca préserve la diversité de ses fonds marins avec ses 150 espèces de coraux , ses 300 espèces d’oiseaux présents sur l’île. Ne vous privez pas du plaisir de plonger dans ces eaux limpides à 25°C avec les tortues et les poissons clowns !
Ponta do Ouro (La Pointe d’or ) est une station balnéaire qui se situe dans le Sud du Mozambique, dans la province de Maputo, à 15 kilomètres de la frontière avec l’Afrique du Sud. Elle tire son nom d’un cap dont les plages sont à l’origine de sa notoriété.Ce site est notamment réputé pour l’observation des dauphins et la plongée sous-marine.
Aussi appelée Vilankulo, la ville de Vilanculos est typée avec ses maisons et rues typiques . Elle tient son nom du chef tribal Gamela Vilankulo Mukoke. Certains des quartiers de la ville, ou certains des endroits de sa banlieue, portent les noms des fils de Gamela. Par ailleurs, l’île a changé de nom selon les périodes: Vilanculos durant la période coloniale, puis Vilankulo une fois l’indépendance acquise. La ville de Vilankulo est la porte d’entrée de l’archipel Bazaruto.
Le Cahora Bassa est un lac de barrage de la province de Tete. La retenue est d’environ 2 574 km² qui régule ainsi la navigation sur 250 km et permet la pêche et l’irrigation en aval pour des plantations de coton, canne à sucre et agrumes.
Située dans le nord du Mozambique, la réserve de Niassa est la plus grande zone protégée du pays. Au total, Niassa s’étend sur 42 000 kilomètres carrés. Autrement dit, l’équivalent de la surface du Pays de Galles ou du Danemark. Cet espace naturel fondé en 1954 a pleinement subi la guerre civile du Mozambique, et notamment le braconnage . Encore en phase de reconstruction, Niassa vous accueille dans un environnement sauvage .
Le parc national de Gonarezhou au Zimbabwe, celui du Kruger en Afrique du Sud et celui du Limpopo au Mozambique forment une vaste réserve naturelle appelée parc transfrontalier du Limpopo. Ses 35 000 km2 abritent une biodiversité extraordinaire, avec notamment la présence des fameux Big 5 : buffles, lions, éléphants, léopards et rhinocéros. Les trois parcs sont regroupés dans un objectif de paix et de développement. Les populations sont encouragées à produire les ressources et les animaux disposent d’un vaste espace où ils peuvent facilement se cacher.
Inhambane est l’un des plus anciens établissements de la côte du Mozambique. Des boutres venaient y faire du commerce dès le XIe siècle. Les musulmans et les commerçants persans venaient y négocier l’ambre gris et perles et allaient faire du commerce plus au sud, à Chibuene. La région était connue pour ses productions de fil de coton réalisées par les Tongas. Peu avant que les Portugais ne découvrent la ville, les Karangas avaient conquis Inhambane et soumis un certain nombre de chefs locaux qui dominaient les travailleurs du coton tongas et étaient récompensés pour le commerce avec les musulmans.
Lorsque Vasco de Gama contourna l’Afrique, en 1498, il relâcha à Inhambane pour reconstituer ses approvisionnements et faire des explorations. Il apprécia immédiatement Imhambane et la nomma Terra de Boa Gente (« Terre des gens doux »).
Depuis 2008, le parc est en train de revivre grâce à la mobilisation de scientifiques du monde entier et surtout à un homme clé qui les a fait venir : Gregory C. Carr, un philanthrope et entrepreneur américain. On peut y apercevoir des impalas, des hippopotames, et quelques éléphants.
La réserve des éléphants, à une trentaine de kilomètres au sud de Maputo,La population d’éléphants résidente restante dans la réserve spéciale de Maputo a pu survivre à la guerre civile et est maintenant florissante, le dernier décompte de gibier révélant une population de plus de 400 éléphants qui paissent en grands troupeaux dans les plaines inondables ouvertes ou explorent les épaisses forêts de dunes.
La réserve est l’une des plus grandes réserves boisées de miombo au monde, la forêt de miombo couvrant la moitié de la réserve. Le reste est principalement constitué de savane ouverte, avec quelques zones humides et des parcelles isolées de forêt.
La réserve de Niassa abrite une population de chiens sauvages africains de plus de 350, importante pour un mammifère en voie de disparition avec une population mondiale estimée à 8 000. Le parc abrite une population d’antilopes de sable de plus de 12 000, une population d’éléphants de 16 000, plus de 400 espèces d’oiseaux et de grandes populations. de buffles du Cap, d’impalas, de gnous, de zèbres et de léopards. La région compte trois espèces endémiques – le gnou de Niassa, le zèbre de Boehm et l’Impala de Johnston.
A l’intérieur, les sentiers de randonnée sont frayés à travers le bush sauvage, au cœur de l’environnement naturel du paradis des 775 espèces d’oiseaux du Mozambique !
Le littoral est le royaume de la mangrove. Une accumulation de palétuviers aux racines apparentes pousse dans des eaux peu profondes. La mangrove joue son role de filtre naturel puissant et fournit de l’eau douce à de nombreux villages, en évacuant notamment le sel par ses feuilles, par exemple sur l’île d’Inhaca.
Les palétuviers ont la capacité de filtrer les impuretés, laissant les eaux d’une transparence absolue et les plages paradisiaques.
Plus au nord, sur l’archipel des Quirimbas, les randonnées sont fantastiques. La mangrove se traverse à pied à marée basse ou à bord d’un bateau à marée haute. Toutes ces racines qui se mêlent et s’entremêlent, comme si les arbres d’un coup allaient se mettre à marcher.
Le Mozambique, c’est également des dunes , des bancs de sable qui font le paysage côtier. La Compagnie du Zambèze, à l’époque de la domination portugaise, établit de vastes plantations de cocotiers et cultiva le sucre. Les cocotiers plantés dessinent encore la côte, même s’ils souffrent beaucoup de plus en plus des tempêtes .
Le Mozambique possède peu de trains. Le trafic ferroviaire est réduit au strict minimum et sert essentiellement à transporter des marchandises.
Quelques exceptions sont cependant à signaler.
Le train entre Maputo et Johannesbourg (600 km, 14h de voyage) propose un assez agréable voyage, par son « petit confort » et par la vue de magnifiques décors sauvages.
Le trajet qui relie Nampula à Cuamba , plusieurs fois par semaine, en 10h, offre des paysages splendides et constitue une bonne alternative à la route.
Attention, comme dans les pays voisins, on conduit à gauche au Mozambique. Le permis de conduire international est obligatoire, et l’assurance indispensable. Pour la location d’un 4×4, le tarif monte facilement à 1 200 US$ par semaine, contre 400 à 500 € pour une berline. Les loueurs internationaux comme Hertz, Europcar ou Avis sont représentés à Maputo.
La route suivant le littoral est goudronnée et en assez bon état, mais sur le reste du réseau, c’est la piste qui prédomine. Le 4×4 est alors nécessaire. Après la pluie, les pistes deviennent presque impraticables. Dès qu’on sort des villes, il n’y a presque plus de signalisation routière.
Pour des raisons de sécurité, évitez absolument la conduite de nuit. De manière générale, gare aux chapas et aux bus qui n’hésiteront pas à vous doubler allègrement. Les accidents sont nombreux, notamment sur la EN1 qui relie le nord au sud du pays. Attention aux gens qui traversent régulièrement les nationales sans regarder. Attention enfin aux animaux : le risque est grand de devoir piler devant une chèvre étourdie !
Attention, les stations-essence sont parfois espacées de plusieurs centaines de kilomètres. Ne pas hésiter donc à faire le plein dans la station qui se présente.
Retrouvez des informations complémentaires actualisées sur le Tourisme en Mozambique sur notre Blog Tourismer.io
Une organisation à but non lucratif dont les activités sont basées sur l’expérience et l’apprentissage de diverses organisations de la société civile telles que ESSOR, CCM, OASIS, PNDH, Zambeze University depuis plusieurs années agissant dans la province de Sofala, au Mozambique en tenant compte des priorités d’action du Gouvernement en matière de Protection Sociale.
En Guinée-Bissau, au Mozambique et en République du Congo, les zones péri-urbaines des grandes villes présentent de forts potentiels agricoles entravés par des problématiques communes : insuffisance de formation et de moyens; usage excessif et non contrôlé des produits chimiques nuisant à l’environnement et à la sécurité sanitaire; difficultés d’accès à des intrants de qualité ; pression foncière ; problèmes de fertilité ; difficultés de valorisation et d’accès aux marchés des produits locaux face aux produits importés, etc…
L’augmentation de la productivité agricole est pourtant une des priorités des gouvernements de ces 3 pays afin d’atteindre l’autosuffisance alimentaire, alors même que les populations ne cessent de croître et que les effets du changement climatique impactent négativement l’agriculture et menacent la sécurité alimentaire. Face à ces enjeux, ESSOR et ses partenaires proposent de renforcer les compétences et la résilience des producteurs/trices vulnérables, à travers des pratiques à la fois plus productives, plus rémunératrices, et plus respectueuses de l’environnement (promotion de l’agroécologie).