VOYAGE OCEAN INDIEN by TOURISMER
Voyage responsable Maurice
L’île Maurice est un lieu de repos absolu pour tous les stressés et adeptes des purs rayons de soleil dans un décor de rêve. Malgré sa petite taille,
Maurice propose un éventail surprenant de coutumes et de cultures , à des conditions beaucoup plus abordable, que sa célébrité de paradis des fortunés ne pourrait le laisser croire.
Dans les eaux turquoises de l’Océan Indien se côtoient des centaines d’espèces d’oiseaux ,une faune et une flore endémiques .
Faire de l’Ecotourisme à Maurice c’est la nécessité de prendre en compte les enjeux économiques, sociaux et environnementaux de l’Ile .
L’île Maurice se positionne aujourd’hui comme une destination de tourisme vert et s’est lancée depuis quelques années dans le développement durable de ses activités et loisirs.
Nous soutenons
Il est vraisemblable que les Austronésiens aient découvert l’archipel des Mascareignes, Les Arabes découvrirent probablement l’île Maurice au Moyen Âge, à une date inconnueDès le début du XVIe siècle, les Portugais prennent pied aux Mascareignes.
C’est vers la fin du XVIe siècle que les marins hollandais de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales commencent à sillonner l’océan Indien.
En 1598, une escadre hollandaise, sous les ordres de l’amiral Wybrand van Warwyck, aborda l’Île Maurice qui fut renommée Mauritius en l’honneur de Maurice de Nassau, Afin de rentabiliser leur nouvel établissement de l’Île Maurice, les Hollandais développèrent vers 1641 le commerce des esclaves en provenance de Madagascar.
En 1710, les Hollandais abandonnent volontairement Maurice après avoir pillé la faune et la flore locale.
En septembre 1715, la France, dont le commerce avec les Indes orientales est harcelé par la piraterie qui sévit dans la région, envoie un bateau de guerre stationner à Maurice afin d’en prendre possession.
La suprématie française dans la région
Alors que l’île de France ne comptait que 1 000 habitants en 1735, elle atteignait en 1767 les 20 000 habitants, dont 15 000 esclaves. L’île Bourbon (La Réunion) en comptait 8 000 (dont 6 000 esclaves).
Pierre Poivre développe l’île
Grâce à Pierre Poivre, ancien employé de la compagnie des Indes qui connaît bien la région depuis 1746, l’archipel des Mascareignes devint une colonie prospère et organisée, enviée par les Britanniques.
Botaniste et membre de plusieurs académies de sciences,. C’est à lui que les Mauriciens doivent le célèbre jardin de Pamplemousses, qui abrite des nénuphars géants et plus de 60 variétés de palmiers. De plus, Poivre assainit le climat moral et social des Mascareignes en améliorant le sort des esclaves dans tout l’archipel.
Pierre Poivre introduit également l’imprimerie à l’île de France en 1768 (l’Imprimerie royale de Port-Louis).
La Révolution et l’Empire
Le 27 juillet 1793, la Convention nationale française proclame l’interdiction de la traite des esclaves et, quelques mois plus tard, le 4 février 1794, celle de l’esclavage. Le décret prescrivait « l’abolition immédiate L’Assemblée coloniale de l’île de France (Maurice) se prononça contre ce décret et réclama avec insistance à la Convention sa suppression pure et simple.
En 1803, le général Decaen envoyé par Napoléon débarqua aux Mascareignes pour imposer le nouveau régime politique. pendant les guerres napoléoniennes, l’île de France et l’île Bonaparte étaient devenues le rendez-vous des corsaires français qui organisaient des raids fructueux contre les navires commerciaux britanniques sur la route des Indes. Même si certains réalisèrent des exploits, comme Surcouf, cela n’empêcha pas l’Angleterre d’étendre sa domination.
Le dernier gouverneur français de l’île de France, le général Decaen, dut capituler.
En 1832, le gouvernement colonial anglais imposa une première politique linguistique : la langue anglaise devint obligatoire pour les Mauriciens lors de toute communication avec les autorités britanniques. L’année suivante, l’anglais devint l’unique langue de l’Administration en servant de critère d’embauche dans les services gouvernementaux.
Sous cette administration, la culture de la canne à sucre, lancée par La Bourdonnais, s’étend et fait rapidement la richesse des planteurs d’origine française. Ceux-ci vont lutter de toutes leurs forces contre les projets d’abolition de l’esclavage qui devient effective à Maurice le 1er février 1835, après que la couronne britannique ait versé aux planteurs de substantiels dédommagements.
Entre 1835 et 1865, pour compenser le départ de bon nombre de leurs anciens esclaves, plus de 200 000 immigrants ou coolies ou engagés indiens et chinois affluèrent à l’île Maurice et changèrent radicalement la composition ethnique des habitants.
Tandis que Maurice comptait 200 000 habitants en 1860, ils sont environ 500 000 en 1910.
Des épidémies de choléra et de malaria font entre 1866 et 1868 au moins 50 000 victimes.
De plus, l’économie basée sur la monoculture de la canne à sucre reste très vulnérable aux maladies et aux catastrophes naturelles.
Au début du XXe siècle, la population mauricienne atteignait les 371 000 habitants et la majorité de la population était déjà constituée d’Indiens. En 1870, l’île perdit sa position stratégique à l’occasion de l’ouverture du canal de Suez, et cet événement eut pour effet d’écarter l’île de Maurice de la route des Indes et d’aggraver la situation socio-économique.
La fin du XIXe siècle marque une période difficile pour Maurice, dont les exportations reculent et qui est frappée par des épidémies et des cyclones qui ont ravagé Port-Louis.
Jusqu’en 1903, l’île Maurice et les Seychelles furent administrées comme une seule colonie par la Grande-Bretagne. Puis, l’île Maurice affirma de plus en plus son autonomie face à la couronne britannique. À partir des années trente, des mouvements populaires en faveur de la démocratisation commencèrent à se manifester et aboutirent graduellement au droit de suffrage universel et aux élections législatives de 1948.
La Seconde Guerre mondiale met un nouveau coup d’arrêt à l’activité économique de l’île. De 1939 à 1942, les liaisons par bateau sont interrompues et Maurice est coupée du monde. Les Britanniques maintiennent cependant une présence militaire.
Le suffrage universel est introduit à Maurice en 1958.
12 mars 1968 – Proclamation de l’indépendance de l’Île Maurice
Des élections générales ont lieu le 7 août 1967, et le Parti de l’indépendance obtient la majorité des sièges. En janvier 1968, six semaines avant la déclaration d’indépendance.
L’île Maurice adopte une nouvelle constitution et l’indépendance est proclamée le 12 mars 1968. La reine Élisabeth II restant chef d’État en tant que reine de Maurice.
La Constitution de Maurice ne mentionne aucune langue officielle . Néanmoins, l’anglais est utilisé par l’administration.
La population mauricienne est multilingue, la plupart des Mauriciens parlant couramment le créole mauricien, le français (environ 73 %) et aussi l’anglais.
Il y a 26 % de catholiques et 6,5 % de protestants et d’anglicans. Les musulmans représentent 17 % de la population. Ils sont en général sunnites et descendants de migrants indiens.
Musique et danse
Deux genres musicaux locaux sont présents sur l’île.
Le séga et le séga ravanne (séga typique de l’ancien temps), musique et danse créole endémique de Maurice. Les chants et danses en langue bhodjpouri qui continuent à jouir d’un certain intérêt malgré le déclin de cette langue sur l’île. D’autres courants musicaux font partie de la richesse musicale de l’île, on retrouve le reggae avec des artistes très populaires tel que Kaya.
Le sega
Musique et danse originaire des esclaves africains, le séga est la forme artistique la plus répandue de l’île. Il se danse en faisant glisser les pieds sur le sol sans jamais les lever. La simplicité apparente de cette danse trouve son origine dans le fait que le sable empêchait de faire des pas sophistiqués.
Littérature
La littérature conçue à l’ile Maurice, est vieille de deux siècles et regroupe en son sein des auteurs divers, de Xavier Le Juge de Segrais à Léoville L’Homme. On peut noter certains auteurs internationalement connus, comme J. M. G. Le Clézio, lauréat du prix Nobel de littérature en 2008.
Elle a été traversée par des thèmes aussi divers que l’exotisme, le métissage, les conflits sociaux et raciaux, l’indianocéanisme ou, plus récemment, par des constructions alliant postmodernisme et post-structuralisme, notamment dans la coolitude, conçue comme un humanisme du divers né en terre mauricienne. Elle se parle, se raconte, se chante.
Sculpture
Le Dronte de Maurice est une espèce d’oiseaux , endémique de l’île Maurice, disparue depuis la fin du XVIIe siècle. Il est plus connu sous le nom de dodo, il est est le modèle de nombreuses sculptures en bois,en terre cuite,en métal.
La cuisine de l’île Maurice a été est influencée par les traditions créole, française, chinoise, et surtout indienne. Le riz, le poulet, les poissons et les fruits de mer sont les ingrédients de base. Les plats sont cuisinés en y ajoutant une sauce à base de tomates, ail, gingembre, graines de moutarde et de nombreux épices.
Quelques plats emblématiques
La salade de gâteaux piments
Les gâteaux piments sont une spécialité Mauricienne à base de pois cassés, de coriandre et de piment.
Source: https://www.papillesetpupilles.fr/2014/05/gateaux-piment-ile-maurice.html/
La rougaille de poisson
C’est un plat typiquement créole, accompagné de riz blanc et de lentilles, on prépare une sauce à base de tomate, d’ail, de gingembre, d’oignons, de piment et d’épices puis on ajoute du poisson salé.
Le bouillon de crabe
Il se prépare avec du poivre, des graines de moutarde et de cumin, du piment, des épices, de l’eau et une sauce de tamarin. Il est servi très chaud, le plus souvent en hiver.
Le dholl puri
C’est une star de la « street food » mauricienne. Il est fait à base de farine et de pois cassés. Il s’accompagne volontiers de cari gros pois, de rougaille, satini coco…
L’île Maurice est un paradis avec ses plages de rêve et son lagon turquoise !
La ville de Tamarin est réputée pour ses vagues géantes qui font le bonheur des surfeurs. Vous aurez le plaisir de voir de nombreux dauphins dans sa baie
Cet îlot inhabité est un site incontournable, c’est l’un des plus merveilleux de l’île.
L’île aux Cerfs vous invite à vous relaxer sur ses superbes plages de sable blanc, à l’ombre des palmiers, plonger dans ses eaux turquoise , et aussi participer aux activités nautiques prévues pour tous, tout au long de l’année : kayak, canoë, voile, …
Cette randonnée incontournable de l’île Maurice permet d’approcher au plus près les sept cascades de la rivière Tamarin. On peut choisir sa formule seul, ou avec un guide pour éviter de se poser de questions. On peut aussi préparer la randonnée en se renseignant auprès des mauriciens qui connaissent leur île. Si le sentier est très facile à suivre en général, certains passages ne sont pas évidents. Pour éviter de se perdre, la trace des tissus rouges sont parfois fixés aux branches pour aider à se repérer.
Le Morne Brabant est l’une des montagnes les plus préservées et les plus sauvages de l’île. C’est l’habitat d’une très grande variété d’espèces endémiques, la Trochetia Boutoniana, qui est l’emblème floral de Maurice . Certaines parties raides de l’ascension nécessitent de s’appuyer sur les mains pour progresser, mais les efforts valent la peine! On y découvre une grande partie de l’île, et des vues superbes sur les lagons.
Le Jardin de « Pamplemousse », situé à Pamplemousse de 37 hectares, est un jardin botanique tropical qui renferme de très nombreuses espèces originaires de différentes régions du monde, avec variétés d’essences pleines de charme aux superbes couleurs. .
Il s’est enrichi, au fil des années depuis sa création, de nombreuses espèces venant de contrées tropicales parfois lointaines. C’est un véritable paradis pour les sens : muscadier , giroflier, camphrier, laurier, des arbres et épices des Antilles, d’Inde, d’Afrique, de Chine… sans oublier les nombreuses fleurs, araucarias, orchidées, et bien sur les nombreux palmiers: plus de 95 variétés!
À quelques pas des côtes balnéaires mauriciennes, cet îlot calcaire de 25 ha, devenu une réserve naturelle, nous propose une immersion dans la nature originelle de Maurice. Entre rangées de lataniers ( espèces de palmiers) et forêt d’ébènes, de nombreuses plantes endémiques prospèrent. On peut entrevoir quelques tortues géantes et admirer de rarissimes espèces d’oiseaux : car en 2006, il a été relâché 260 individus sur l’île aux Aigrettes qui avait retrouvé un bon équilibre. On peut voir aussi des geckos superbement colorés : les geckos sont des reptiles. Ils font partie du groupe d’animaux que l’on appelle « lézards » dans le langage courant.
Plus de 60 kilomètres de sentiers ont été tracés dans le parc. Les plus importants sont ceux menant au sommet de l’île Maurice, le Piton de la Petite Rivière Noire.
Le parc abrite plusieurs mammifères typiques des Mascareignes ou de Madagascar tels que le tangue ou la roussette noire. Néanmoins, c’est surtout du point de vue de la faune aviaire qu’il est le plus intéressant avec la Paille-en-queue, la crécerelle de Maurice, la perruche de Maurice, le pigeon rose, l’échenilleur de Maurice, le bulbul de Maurice, le zostérops gris de Maurice, l’oiseau blanc et le foudi de Maurice.
Ce splendide village se situe sur la côte ouest de l’île Maurice , à l’abri du vent quasiment toute l’année. C’est principalement ici que vous aurez la chance de voir presque chaque matin de nombreux cétacés. Vous pouvez profiter de cette superbe plage publique qui est relativement déserte durant la semaine.
Un paysage unique en son genre qui est devenu un symbole de l’île Maurice: dans le district de la rivière noire, les Terres des sept couleurs de Chamarel ondulent et se colorent d’une palette de tons orangés. Ces dunes de sable multicolores semblent posséder toutes les couleurs de l’arc en ciel.
Il s’agit d’un parc naturel comptant de nombreuses plantes endémiques, des animaux sauvages, et des paysages rares. La plus emblématique curiosité du parc est la terre aux 23 couleurs. Il s’agit d’une surface rocheuse vieille de plusieurs millénaires, résultant d’une réaction chimique.
Plus de 60 kilomètres de sentiers ont été tracés dans le parc. Les plus importants sont ceux menant au sommet de l’île Maurice, le Piton de la Petite Rivière Noire.
Le parc abrite plusieurs mammifères typiques des Mascareignes ou de Madagascar tels que le tangue ou la roussette noire. Néanmoins, c’est surtout du point de vue de la faune aviaire qu’il est le plus intéressant avec la Paille-en-queue, la crécerelle de Maurice, la perruche de Maurice, le pigeon rose, l’échenilleur de Maurice, le bulbul de Maurice, le zostérops gris de Maurice, l’oiseau blanc et le foudi de Maurice.
Un grand plan d’eau appelé Mare Sarcelle couvre près de 89 hectares (220 acre) du parc. En plus d’une multitude d’étangs abritant des fougères et orchidées autochtones, la Mare Sarcelle accueille des mangroves et beaucoup d’oiseaux. Le plan d’eau est en passe de devenir très populaire auprès des randonneurs et des observateurs d’oiseaux. Le parc est aussi le site du Mauritius Radio Telescope. Bras d’Eau recèle des ruines au sein de sa forêt, notamment les vestiges d’un moulin à canne à sucre et d’un four à chaux. Deux espèces d’arbres géants originaires de Maurice survivent encore dans le parc national : Diospyros melanida et Diospyros egrettarum, qui donnent du bois d’ébène. Le parc sert également de réserve naturelle pour plusieurs espèces d’oiseaux endémiques et rares.
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Ti Rayons Soleil, ONG créée en 2007 à l’île Maurice, vient en aide aux enfants et aux personnes vulnérables, vivant dans des poches de pauvreté. Les projets de développement communautaire ont pour but final la lutte contre la pauvreté et l’exclusion par la formation, l’ « Empowerment », le soutien éducatif, nutritionnel, médical et para médical. L’encadrement des personnes dans les programmes permet de créer du lien social et ainsi, de contrecarrer l’exclusion.