VOYAGE OCEAN INDIEN by TOURISMER
VOYAGE OCEAN INDIEN by TOURISMER
Voyage responsable Le Kenya
Les touristes du monde entier savent qu’ils peuvent venir trouver au Kenya les plus beaux paysages sauvages et les animaux les plus majestueux. Le tourisme balnéaire est une vraie réjouissance avec des plages paradisiaques.
Le Kenya est la destination qui vous permettra de combiner facilement un safari palpitant, à la rencontre des grands fauves d’Afrique, avec un séjour balnéaire au bord de l’Océan Indien
Le Kenya fait partie des plus beaux spots de plongée de l’Océan Indien, une mer de cristal chaude et de magnifiques fonds marins.
Le Kenya est l’une des terres africaines les plus accueillantes, mais aussi les plus visitées dans le monde. Le Kenya abrite 56 parcs et réserves naturelles. C’ est la garantie d’un tourisme durable qui plonge les voyageurs au cœur d’une nature préservée et sauvage .
Le Kenya, c’est aussi l’opportunité de partir à la rencontre d’une mosaïque ethnique de populations qui habitent ce vaste territoire resté d’allure sauvage. Les traces de plusieurs civilisations, comme les Maasaï, les Bagga et les Bantous, attestent de la richesse culturelle ancestrale du Kenya.
Nous soutenons
La vallée du Grand Rift souvent désignée comme le « berceau de l’humanité. Des découvertes indiquent que des hominidés comme Homo habilis et Homo ergaster vécurent au Kenya il y a 2,5 millions d’années.
Des peuples venus du nord arrivèrent dans la région aux alentours de 2000 av. J.-C., créant des cultures telles l’Elmenteitien à l’époque du Néolithique pastoral. À la fin du Ier millénaire, arrivèrent, de l’ouest, des peuples bantous. Enfin, à partir de 1500 apr. J.-C. arrivèrent les peuples de langues nilotiques venus du nord-ouest.
L’histoire coloniale du Kenya débuta dès le VIIIe siècle avec l’établissement de colonies arabes le long des côtes.
Au début du XVIe siècle arrivent, dans le sillage de Vasco de Gama, les Portugais dont la domination sera éclipsée par celle des sultans d’Oman en 1698. Cependant, ces colonisations restent confinées à la côte du Zanguebar, le but étant le contrôle de la route maritime des Indes.
Le nouveau protectorat est appelé Afrique orientale britannique. En 1902, les colons blancs sont autorisés à accéder aux hautes plaines fertiles. Ces colons eurent une influence dans le gouvernement avant même qu’il ne soit officiellement déclaré colonie de la Couronne en 1920, mais les Africains furent exclus de participation politique directe jusqu’en 1944.
Sur le modèle de l’Afrique du Sud, l’administration coloniale britannique impose en 1915 l’obligation pour tous les noirs de plus de quinze ans de porter en permanence autour du cou un certificat prouvant leur identité et leur emploi.
D’octobre 1952 à décembre 1959, la révolte des Mau Mau combat la loi coloniale britannique. Les décideurs britanniques firent alors participer de plus en plus d’Africains aux processus gouvernementaux, afin de couper les rebelles de leur soutien.
Les premières élections directes pour les Africains au Conseil législatif eurent lieu en 1957. La guerre s’achève avec 100 000 morts côté africain et 320 000 détenus dans des camps, dont plus d’un millier seront exécutés et des milliers d’autres torturés.
Les Britanniques libèrent Jomo Kenyatta et quelques autres prisonniers politiques en 1961 afin de permettre, dans l’optique de l’indépendance imminente du Kenya, la constitution d’un gouvernement « modéré » favorable à leurs intérêts.
Bien que les Britanniques souhaitaient transmettre le pouvoir à un groupe modéré, ce fut le Kenya African National Union (KANU) , membre de la tribu des Kikuyus le premier gouvernement peu après l’indépendance du pays le 12 décembre 1963.
D’abord monarchie constitutionnelle, le Kenya devient un an plus tard une république, Kenyatta devenait le premier Président de la République.
Dès décembre 1963, le Royaume-Uni fait signer au Kenya des accords militaires leurs reconnaissant le droit d’utiliser le Kenya comme base militaire pour d’éventuelles opérations dans la région.
Le 4 août 2010, un référendum valide le texte de réforme de la Constitution, incluant une Charte des droits et libertés Cette constitution est promulguée par le président Mwai Kibaki le 27 août 2010.
Les langues officielles sont le swahili et l’anglais . La langue nationale est le swahili auquel s’ajoutent 51 dialectes.
Selon le recensement de 2019, sur une population de 47,6 millions d’habitants le Kenya compte 85,5 % de chrétiens (33,5 % de protestants, 20,6 % de catholiques et 20,4 % d’évangéliques) t 11 % de musulmans et 1,8% d’animisme (religions traditionnelles africaines).
Littérature et theatre
« La terre ne nous a pas été léguée par nos parents, mais prêtée par nos enfants », proverbe kenyan.
Les romans, nouvelles, récits, et pièces de théâtre sont nombreux, mais difficiles à trouver hors de Nairobi s’ils n’ont pas retenu l’attention des grands éditeurs.
Un écrivain célebre s’exprimant en langue kikuyu: Ngũgĩ wa
Musique
Comme partout en Afrique, la musique traditionnelle rythme les événements de la vie. Chaque éthnie a un style particulier bien qu’un des points communs est l’utilisation des percussions. Le tambour, ou ngoma (« tambour » en swahili), a donné son nom à ces musiques.
Plusieurs groupes ethniques se distinguent par leurs dispositions musicales : les Luo au nord-est du lac Victoria, les Mijikenda sur la côte.
Source: https://virtualexpodubai.com/listen-watch/events/kenya-ngoma-za-kenya
Peinture
Ces dernières années, le Kenya est devenu une plaque tournante de l’art contemporain en Afrique de l’Est. Nairobi devient un lieu important pour l’art dans la région, avec une liste croissante d’espaces d’art contemporain.
Les objets d’artisanat
Le Kenya possède un artisanat très riche., issu des différentes tribus du pays : Masaï, Turkana, Samburu, Kikuyus. Sans oublier les objets d’origines de l’artisanat arabe.
On peut citer : les statuettes et masques en pierre de savon, les paniers en sisal, les bijoux masaïs et les pagnes colorés.
Largement inspirée des influences arabes et indiennes, la cuisine kenyane fait partie des meilleures cuisines locales d’Afrique. Le pays a proposé sa candidature afin de faire enregistrer sa gastronomie au patrimoine immatériel de l’Unesco.
Quelques plats emblématiques :
Le Nyama Choma
Le plat national composé de viande grillées : à la base de chèvre, mais on peut le déguster en version viande de bœuf, ou poulet.
L’ugali
C’est un féculent, il est servi tel quel, en principe accompagné par des légumes comme le chou frisé, cuisinés éventuellement avec de la viande ou du poisson.
L’Irio Kikuyu
Les Kikuyu sont la plus grande tribu du Kenya. Ce sont des Bantous, ce qui implique qu’ils dépendaient traditionnellement de l’agriculture. Ils sont à l’origine de ce plat :
C’est un mélange de pommes de terre, de maïs et de petit pois.
Réputé pour ses paysages de cartes postales, c’est le territoire d’exception pour un safari , sur les terres des éléphants d’Afrique de l’Est.
Un cadre naturel superbe, avec en toile de fond l’impressionnant sommet du Kilimanjaro, et parfois en premier plan les éléphants traversant la savane !
Les paysages du parc sont marqués par des zones très différentes: des décors arides et poussiéreux balayent la savane et, d’un autre côté, des zones humides offrent une végétation verdoyante.
Cinq types d’habitats ressortent: des plaines, acacias, marais, marécages et broussailles épineuses. Le lac d’Amboseli couvre plus d’un quart du parc, mais est sec une bonne partie de l’année. C’est l’occasion de combiner un safari avec une découverte authentique, sans artifice, d’une riche culture locale avec nos amis Maasaï.
C’est le must des safaris !
Son nom provient de 2 éléments : les tribus Maasaï qui y vivent, et la rivière Mara qui la traverse. La réserve du Maasaï Mara se situe dans le sud ouest du pays, à 250 km à l’Ouest de Nairobi. Elle se trouve à la limite de la Tanzanie dans le prolongement du parc national du Serengeti.
Il est géant! Sa taille atteint la moitié de la Suisse ! Le parc national Tsavo comprend deux parties divisées par la voie de chemin de fer reliant Mombasa à Nairobi. La partie Ouest est une région vallonnée, alors que la partie orientale est plus désertique et assez plate, à l’exception du plateau Yatta. Le Tsavo est une région volcanique qui compte même quelques coulées de lave. On y trouve d’importants troupeaux d’éléphants. Il est aussi possible d’observer crocodiles et hippopotames sur certains sites, particulièrement dans la partie ouest du parc. Ces deux régions offrent des paysages contrastés, plusieurs biotopes qui favorisent une faune diversifiée. Ce gigantesque territoire abrite encore plus de 10 000 éléphants!
Diani Beach a été élue à plusieurs reprises l’une des plus belles plages d’Afrique (mais aussi du monde) ! C’est un réel havre de paix sur l’Océan Indien. Outre le magnifique sable blanc et les palmiers qui accompagnent chacune de nos promenades dans la ville animée, c’est la nourriture et les nombreuses offres de sports nautiques qui font le plus.
Les réserves de Samburu, Shaba et Buffalo Springs sont situées dans la partie Centre-Nord du Kenya. Moins fréquentées, elles sont appréciées par les voyageurs qui recherchent des safaris « hors des sentiers battus » : vous découvrirez leurs montagnes, leurs volcans éteints, leurs rivières. Les paysages sont très différents des autres parcs. On peut observer des espèces rares, comme le gérénuk, l’oryx Beisa ou le zèbre de Grévy. Vous aurez peut être la chance d’y voir des léopards !
Le lac Victoria, qui est la deuxième plus grande étendue d’eau douce sur Terre après le lac Supérieur en Amérique du Nord, est bordé par le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie. Son affluent le plus lointain, qui est aussi la source du Nil la plus lointaine, est la Rukarara qui prend naissance au Rwanda et son exutoire. Le Nil blanc se trouve à Jinja en Ouganda. Le lac contient environ 450 espèces de poissons dont 302 endémiques.
Le mont Kenya, dont le nom signifie « montagne de l’autruche » chez les Wakamba, l’une des populations vivant à son pied, est le point culminant du Kenya et le deuxième plus haut sommet d’Afrique, derrière le Kilimandjaro. Les plus hautes cimes culminent à 5 199 mètres à la pointe Batian.
Le mont Kenya est un volcan rouge né il y a environ trois millions d’années de l’ouverture du rift est-africain. Il a été recouvert pendant des millénaires par une importante calotte glaciaire qui a fortement érodé ses pentes et lui a donné son relief particulier, avec de nombreuses vallées qui descendent du sommet. Il reste aujourd’hui une douzaine de petits glaciers en phase de retrait rapide, malgré des températures souvent négatives, avec un climat très variable au cours des millénaires et des siècles, des saisons et des jours. La montagne demeure une source d’eau essentielle pour une grande partie du pays.
La montagne possède huit étages de végétation entre le bas et le sommet, avec notamment une vaste couronne de forêt. De nombreuses espèces sont endémiques ou très caractéristiques du mont Kenya, comme les lobelias, les séneçons ou les damans du Cap.
Le lac Nakuru est l’un des lacs de la vallée du Grand Rift. C’est un lac alcalin ou lac de soude qui accueillait environ 1 million de flamants roses, avant que sa salinité change et qu’il ne devienne trop pollué. Mais cette réserve abrite également bien d’autres espèces de mammifères bien connues dont des girafes et des rhinocéros.
Il est un des plus grands et des plus connus parcs nationaux du Kenya, et le deuxième plus visité du pays après le parc du Masaaï Mara. De ses huttes (où l’on peut loger) on aperçoit le Kilimandjaro. Le parc tient sa célébrité des vues sur la savane avec le Kilimandjaro en toile de fond: il s’agit sans doute de la carte postale la plus connue du Kenya.
Culminant à 5 199 m, le mont Kenya est le deuxième plus haut sommet d’Afrique. C’est un ancien volcan éteint qui, durant sa période d’activité, aurait atteint 6 500 m. Il reste une douzaine de glaciers sur la montagne, tous en retrait rapide, et l’on trouve quatre sommets secondaires situés à la tête de vallées glaciaires en forme de U. Avec ses sommets rugueux, couronnés de glaciers, et ses pentes moyennes boisées, le mont Kenya est un des paysages les plus impressionnants de l’Afrique de l’Est.
Le site comprend des vallées profondes de pentes basses et des habitats arides riches en biodiversité, situés dans une zone écologique de transition entre un écosystème montagneux et des prairies de savanes semi-arides. Le lieu se trouve également sur la voie traditionnelle de migration des populations d’éléphants d’Afrique.
C’est l’un des parcs les moins connus du Kenya. En raison des chutes de pluie abondantes, il est couvert de marais luxuriants avec de hautes herbes, ce qui rend le repérage difficile contrairement à d’autres parcs africains. Il abrite un large éventail d’animaux sauvages comme l’éléphant, l’hippopotame, le lion, le léopard, le guépard et quelques rares antilopes.
Le parc national de Tsavo East est un des plus vieux et plus grands parcs du Kenya (13 747 km2). Le parc national Tsavo comprend deux parties administrativement (Est et Ouest), divisées par la voie de chemin de fer reliant Mombasa à Nairobi. La partie Ouest est une région vallonnée alors que la partie orientale est plus désertique et assez plate à l’exception du plateau Yatta. Ces deux régions offrent des paysages contrastés, plusieurs biotopes qui favorisent une faune diversifiée.
On y trouve de grands troupeaux de buffles, beaucoup d’éléphants, de zèbres, et d’impalas. La girafe maasaï y est également présente, ainsi que les hippopotames, les cobes à croissant, les dik-diks, les bubales de Coke, les koudous et les élans du Cap. Quelques gnous sont visibles au sud du parc vers le Finch-Hatton. Pour ce qui est des carnivores, lions, guépards, léopards (notamment à n’Gulia), hyènes et crocodiles sont présents mais plus difficiles à voir.
On retrouve aussi quelques espèces menacées comme le rhinocéros noir au « N’gulia rhino sanctuary », quelques zèbres de Grévy et des lycaons. Plusieurs animaux du Nord aride sont présents, tels les oryxs à pinceaux, les gérénuks (gazelle de Waller), les autruches de Somalie et les pintades vulturines.
Distant seulement de 7 km du centre de Nairobi, c’est un parc national du Kenya. Ce parc est menacé par l’étalement urbain de Nairobi. Il est clos sur 3 côtés. La partie sud du parc est laissée volontairement « ouverte » pour permettre la migration des animaux comme les zèbres et les gnous. Avec le parc national du Lac Nakuru, ce parc permet d’observer le rhinocéros noir dans des conditions optimales. À l’extrémité orientale du parc, un sentier permet d’atteindre une courbe de la rivière Athi afin d’observer des hippopotames, des oiseaux, des tortues et des varans.
Il est localisé à l’est de Gembe et des collines de Gwasi dans la vallée de Lambwe près de la rive sud du golfe de Winam (lac Victoria). Nombres d’animaux visibles ici sont introuvables ailleurs au Kenya : 400 espèces d’oiseaux ont été répertoriées, mais c’est la seule zone protégée du pays où l’espèce menacée d’hirondelle bleue. Les autruches, quant à elles, sont nombreuses.
Une série de mammifères se reproduisent dans le parc: l’antilope chevaline car c’est le seul endroit au Kenya où elle peut être observée en liberté, des girafes de Rothschild . Le parc est également riche en ourébis, cobes des roseaux, impalas, topis, babouins, singes vervet et, avec un peu de chance, le léopard, le guépard et le ratel peuvent être observés.
Le parc de Kora a été par le passé une zone réputée peu sûre, mais aujourd’hui la volonté politique en place est de le protéger. C’est pourquoi le parc recherche des fonds pour se développer et assurer la sécurité sur le long terme. Un programme multi-disciplinaire de développement est mis en place simultanément dans les parcs de Kora et de Meru. Il comprend notamment la reconstruction de Kampi ya Simba (le camp de George Adamson) pour qu’il puisse servir de mémorial et d’attraction touristique. L’ouverture de réseaux routiers pour faciliter l’accès au parc est également un point important de ce programme de développement.
La réserve nationale de Shimba Hills est une petite réserve nationale dans la province côtière du Kenya. La réserve est une zone de forêt tropicale côtière et de prairies. La réserve compte plus de 300 éléphants, des antilopes rouannes, des hippotragues noirs, des antilopes musquées, des céphalophes rouges, des colobes noirs et blancs, des servals, des buffles, des girafes, des léopards, des guépards, des cobes et des lions. On y a répertorié 111 espèces d’oiseaux dont l’aigle fascié, la pintade de Pucheran, le souimanga des Uluguru, ainsi que des oiseaux indicateurs. Les pythons, cobras, lézards et geckos constituent les principaux représentants de la faune reptilienne.
De climat chaud et sec, le parc est connu pour sa variété d’espèces sauvages et pour ses paysages. Les deux volcans Olkaria et Hobley’s (aujourd’hui éteints) en font partie, au même titre que certaines formations obsidiennes issues de la roche en fusion refroidie. On trouve encore aujourd’hui, autour du parc national de Hell’s Gate, des cendres dues à l’éruption du mont Longonot au début du XXè siècle.
À l’intérieur du parc se trouve aussi la « Hell’s Gate Gorge », bordée de falaises rouges, qui contient deux bouches volcaniques : la « Fischer’s Tower » et la « Central Tower ». Il existe une plus petite gorge, qui part de la Central Tower vers le sud, et le long de laquelle un chemin descend vers des sources chaudes.
La station géothermique d’Olkaria, la première d’Afrique dans son genre, a été établie en 1981 et génère de l’électricité à partir des sources chaudes et des geysers du parc.
Le parc national de Sibiloi présente la particularité de constituer une aire protégée dans le but de préserver aussi bien une zone fossilifère d’une grande richesse et importance pour la paléontologie qu’un habitat naturel pour diverses espèces animales et végétales. Plus abondantes dans le passé, plusieurs espèces qui constituaient la faune de ce territoire ont disparu ou sont aujourd’hui pratiquement absentes, faisant place aux zèbres de Grévy, gérénuks, oryx lions et girafes réticulée. Plus de 350 espèces d’oiseaux aquatiques et terrestres y ont été recensées.
La réserve, d’une superficie de 131 km, se trouve sur un plateau dont l’altitude est comprise entre 850 et 1 230 mètres. Elle consiste en une plaine vallonnée d’anciennes coulées de lave et dont les sols volcaniques sont parsemés de basalte et d’olivine. Parmi les espèces animales, on rencontre le zèbre de Grant et le zèbre de Grévy. D’autres espèces de mammifères comprennent la girafe réticulées, l’éléphant de savane d’Afrique, l’oryx, le gérénuk, le buffle d’Afrique, le lion d’Afrique, le léopard africain, le guépard et la hyène tachetée. Plus de 365 espèces d’oiseaux ont été identifiées dans la réserve. La rivière abrite des hippopotames et des crocodiles. Les autruches de Somalie sont également très répandues au sein de la réserve nationale.
La réserve nationale de Shaba offre des paysages spectaculaires, comprenant des forêts bordant des rivières, des forêts éparses et des prairies sèches dominées par le volcan Shaba Hill. La faune abondante se concentre autour des points d’eau et des marais dispersés dans toute la réserve. La réserve de Shaba abrite le zèbre de Grévy, une espèce en voie de disparition et l’alouette de Williams. L’endroit aurait servi de cadre pour le tournage de scènes de plusieurs films.
Il s’agit du parc le plus connu et le plus fréquenté du Kenya. C’est d’ailleurs une réserve, et non un parc, car le territoire est toujours habité par les Maasaï qui y font paître leurs troupeaux. La réserve est essentiellement constituée de vastes plaines de savane vallonnée limitée à l’Ouest par l’escarpement d’Oloololo et au Sud par la Sand River. La confluence de cette rivière, de la Talek et de la Mara crée des zones de marais peu profonds qui apportent une grande diversité de biotopes dans un lieu très caractéristique de l’Afrique de l’Est rêvée pour les safaris. Plusieurs scènes du film Out of Africa y furent d’ailleurs tournées.
La réserve est un endroit superbe où observer la migration des gnous, des zèbres, des gazelles de Thomson et d’autres animaux deux fois par an, en particulier lors de leur franchissement de la rivière Mara. Ces herbivores, arrêtés par la présence de l’eau (et des prédateurs qui les attendent à cet endroit), se regroupent en troupeaux qui peuvent dépasser les 10 000 têtes avant de se jeter à l’eau. La concentration animale, l’intense activité des prédateurs (principalement lions, crocodiles, léopards et hyènes) et le spectaculaire de certains franchissements (appelés crossings) créent un spectacle ahurissant même si la violence de la lutte pour la vie y est très présente.
Il s’agit d’un des parcs les plus hauts et les plus boisés du Kenya, qui culmine à 4 000 mètres d’altitude. Ses paysages sont verdoyants, composés de forêts et de landes avec de nombreuses cascades et une végétation riche. Les Aberdares sont en effet l’une des régions les plus pluvieuses du Kenya. L’épaisseur des forêts tropicales fait qu’il est difficile d’observer les animaux, en revanche de nombreuses curiosités géographiques sont intéressantes :
Central Island, également connue sous le nom de Crocodile Island, est une île volcanique située au milieu du lac Turkana au Kenya. C’est également l’emplacement du parc national de Central Island, qui est régi par le Kenya Wildlife Service.
Il est composé de plus d’une douzaine de cratères et de cônes, dont trois sont remplis de petits lacs. Les deux plus grands lacs remplissent partiellement des cratères jusqu’à un kilomètre de large et environ 80 m de profondeur, dont les fonds sont proches du niveau de la mer. Le point culminant de l’île à dominante basaltique atteint 550 m, à environ 190 m au-dessus de la surface du lac. Une chaîne de petits cratères d’explosion de direction E-W coupe le côté est de l’île de 3 km de large. Plusieurs petites îles au SE représentent des bords de cratère partiellement submergés, et d’autres cônes et bouchons de lave se trouvent sous la surface du lac près de l’île.
Situé à quelques dizaines de kilomètres de Mombasa au large de la côte Sud, non loin de Zanzibar, le Parc National Marin de Kisite se compose de quatre superbes îles entourées de récifs coralliens. Vous êtes ici au coeur de l’un des plus beaux paysages du pays, un endroit absolument magique où vous pourrez non seulement faire de la plongée sous-marine, mais aussi vous balader en bateau et nager avec les dauphins. Les plages de la région, bordées par les eaux turquoises du lagon, offrent de véritables paysages de carte postale.
Le parc national de Malka Mari se situe le long de la frontière entre le Kenya et l’Éthiopie, Il a été créé en 1989 pour protéger une forte concentration d’animaux sauvages sur un territoire couvrant au total 1 500 kilomètres carrés. Le parc national de Malka Mari est un vaste parc avec le plus beau paysage, de la fourmilière aux gazelles dansantes, où les plus grandes espèces peuvent être repérées, telles que les girafes somaliennes, les hyènes tachetées, les dik-dik, les guépards, les crocodiles du Nil se promenant sur le sable de La rivière Dawa.
Le Lewa Wildlife Conservancy (également connu sous le nom de Lewa Downs) est situé dans le nord du Kenya. Il a été formé en 1995 (il y a 28 ans) et est un sanctuaire de la faune incorporant la forêt de Ngare Ndare couvrant plus de 250 km2. Le Conservancy abrite une grande variété d’animaux sauvages, notamment les rhinocéros noirs rares et en voie de disparition, les zèbres de Grévy et les sitatungas. Il comprend également les cinq grands (lion, léopards, éléphants, rhinocéros et buffles du Cap). Lewa détient plus de 12% de la population de rhinocéros noirs de l’est du Kenya et la plus grande population de zèbres de Grévy au monde (environ 350 individus).
The Conservancy abrite également le Northern Rangelands Trust, une initiative de Ian Craig et du politicien kenyan Francis ole Kaparo. Cette confiance a sa juste part de controverse après que le groupe de défense américain The Oakland Institute ait trouvé dans son rapport de graves accusations, notamment l’interdiction faite aux pasteurs autochtones de paître sur leurs terres ancestrales. Lewa a son propre programme d’éducation qui aide à développer les écoles et les étudiants. Lewa Wildlife Conservancy est situé dans le comté de Meru, au sud de la ville d’Isiolo mais au nord du mont Kenya.
Avec des altitudes variant de 600 m à 5200 m, le Kenya est une destination idéale pour marcher. Vous passez très rapidement d’un éco-système à un autre. En quelques jours de trekking vous pouvez passer du désert à la forêt primaire pour finir sur un glacier. Très dépaysant! Et à pied vous allez avoir une toute autre image de ce magnifique pays.
En trek, le Kenya c’est royal, que ce soient pour rencontrer les gens ou admirer les paysages. Par cntre, evitez la saison des pluies pour venir faire du trekking et de la rando . Sauf pour l’ambiance lumineuse ( si vous êtes photographe ), là vous aurez la meilleure lumière. Avril, mai et novembre sont normalement les mois pluvieux.
Juste après la saison des pluies, quand les cieux sont encore dégagés et que la faune est au mieux de sa forme, et les jardins verdoyants. Evitez surtout avril, mai et novembre.
C’est le moyen de transport le moins cher, les gros bus présents en masse sont appelés les » coaches « . Ils s’arrêtent très souvent à chaque village pour débarquer , embarquer des voyageurs. Malgré leur vétusté, ils sont pratiques et très fréquents.
Des opérateurs kényans ont par ailleurs lancé des lignes de coaches de luxe pour relier les plus grandes villes à des tarifs qui restent avantageux.
Ce minibus relie deux villes comme les coaches. En théorie, le nombre de passagers autorisé dans un matatu est limité à 14, mais on s’approche souvent plutôt de la vingtaine. La sécurité n’est pas son fort : les sièges de ces minibus ne sont pas équipés de ceinture de sécurité.
Vous allez voir que voyager dans un matatu est une expérience délicate et éprouvante, cependant, expérimenter le vécu des autochtones en vaut la peine.
Retrouvez des informations complémentaires actualisées sur le Tourisme au Kenya sur notre Blog Tourismer.io
Les équipes de SOLIDARITÉS INTERNATIONAL ont répondu à l’urgence des épisodes de sécheresse qui se sont succédés, notamment par la distribution d’eau potable, ainsi que par la construction et la réhabilitation d’ouvrages hydrauliques. En parallèle, elles ont travaillé à améliorer les capacités d’adaptation des communautés pastorales et leur résilience aux chocs climatiques dans le Nord du pays.
À Nairobi, la capitale, le plus grand bidonville d’Afrique, le bidonville de Kibera, est affecté à sa manière par la sécheresse, avec la flambée des prix des denrées alimentaires. À partir de 2008, SOLIDARITÉS INTERNATIONAL introduit le sac potager, qui permet, dans un espace réduit et avec très peu d’eau, à des dizaines de milliers de familles de manger à leur faim.
