VOYAGE OCEAN INDIEN by TOURISMER

Voyage responsable Indonésie

Profil

Voyage responsable Indonésie

Avec plus de 17 000 îles étendues sur 5 000 km et une superficie de 2 000 000 km², l’Indonésie est le plus grand archipel au monde.

L’Indonésie, abrite des centaines de groupes ethniques parlant leurs propres langues.

Jakarta, capitale dynamique et tentaculaire, se trouve sur l’île de Java, de même que la ville de Yogyakarta connue pour la musique de gamelan et les marionnettes traditionnelles.

L’Indonésie est  aussi connue pour ses plages, ses volcans, ses dragons de Komodo et ses jungles où vivent des éléphants, des orangs-outans et des tigres, tout un programme!

Voyage responsable en Indonésie

Dans ce pays où la demande pour le tourisme s’accroît très rapidement il y a un risque certain de développement avec une faible prise en compte des fondamentaux du développement durable touristique : la conservation du patrimoine naturel et des ressources environnementales .

La création d’un label et d’une certification nationale , en accordance avec les 17 Objectifs de développement durable (ODD) préconisés par l’OMT serait  une solution pour  statuer sur  le tourisme responsable, et  soutenir les acteurs qui œuvrent  pour faire du tourisme durable .

        Nous soutenons

Indonésie: BANDUNGAN VALLEY

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Les origines

Des restes fossilisés, sous le nom d’homme de Java, suggèrent que l’archipel indonésien était peuplé il y a 2 millions d’années.

À l’époque de la glaciation de Würm, elle est reliée au continent asiatique. L’Indonésie est alors le lieu de passage des migrations qui, de 70000 à 40000 ans vont de l’Asie vers l’Australie. Les migrations de population de langues austronésiennes, qui forment la majorité de la population moderne, commencent vers 2000 av. J.-C. depuis Taïwan vers les Philippines.

Premiers royaumes

La position stratégique de l’Indonésie comme carrefour maritime favorise les liens entre les îles et le commerce avec l’Inde et la Chine. Au Ier siècle de notre ère, l’ouest de l’Indonésie fait partie d’un réseau d’états portuaires qui commercent entre eux et avec l’Inde et la Chine. C’est ainsi que le clou de girofle, apporté en Inde par des commerçants de l’archipel indonésien et de là, acheminé au Moyen-Orient, est connu dès l’Antiquité.

Dans le centre de Java, des conditions idéales pour l’agriculture et la maîtrise de la technique des rizières dès le VIIIe siècle permettent le développement d’une riziculture prospère.

À la fin du Xe siècle, le centre du pouvoir s’est déplacé du centre à l’est de Java. Là aussi, une agriculture prospère fait de l’île le grenier à riz de l’archipel, assurant la puissance des royaumes successifs de Kediri Sous le règne de Hayam Wuruk . Cette période est souvent mentionnée comme étant « l’âge d’or » de Java.

Royaumes musulmans

Les marchands musulmans de Perse, d’Inde et de Chine abordent dans les ports de l’archipel indonésien. Sans doute au XIIIe siècle, des princes du nord de Sumatra se convertissent à l’islam, désireux de s’intégrer dans ce réseau commercial. Les XVe et XVIe siècles voient ainsi l’essor des États côtiers musulmans, dont le plus prospère est Malacca sur la péninsule Malaise, qui devient le plus grand port d’Asie du Sud-Est. À Java, les principautés de la côte nord, le Pasisir, certaines fondées par des Chinois musulmans, s’affranchissent peu à peu de leurs suzerains hindou-bouddhiques de Majapahit. Le plus puissant d’entre eux est Demak.

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À la fin du XVIe siècle, une nouvelle puissance du centre de Java, le royaume de Mataram, entreprend la conquête de ces cités portuaires musulmanes. Sous Mataram s’épanouit une culture de cour dont les références continuent d’être les modèles représentés par les grandes épopées indiennes du Mahabharata et du Ramayana.

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Au XVIIe siècle, dans le nord de Sumatra, sous le règne d’Iskandar Muda, le sultanat d’Aceh entreprend la conquête des régions côtières de l’île, aussi bien de l’est sur le détroit de Malacca, que de l’ouest sur l’océan Indien. Dans l’est de l’archipel, sous le sultan Hasanuddin, le royaume de Gowa, dont les souverains se sont convertis à l’islam en 1605, soumet l’une après l’autre chaque principauté du sud de Sulawesi.

Déclin des royaumes indonésiens et essor de la puissance néerlandaise

Les Portugais, qui ont pris Goa en Inde en 1510, conquièrent Malacca en 1511.

En 1602, le parlement néerlandais donne à la Compagnie néerlandaise des Indes orientales (VOC) le monopole des activités commerciales et coloniales en Indonésie, prenant ainsi à revers le pouvoir hispanique de Philippe II d’Espagne sur son côté asiatique. Elle parvient, contrairement aux Portugais, à contrôler le commerce d’épices dans l’archipel.

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Dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, après la mort du Sultan Agung, Mataram est miné par les guerres de succession et doit céder petit à petit des territoires aux Hollandais.. À la fin du XVIIIe siècle, la VOC contrôle également toute la côte nord de Java.

En 1800, la VOC est dissoute pour banqueroute. De 1808 à 1811, Herman Willem Daendels devient gouverneur-général des Indes orientales néerlandaises, nommé par Louis Bonaparte, roi des Pays-Bas, et réforme l’administration coloniale. En 1824, par le traité de Londres entre les Britanniques et les Néerlandais, le contrôle des territoires revendiqué au sud de Singapour revient aux Néerlandais. Le monde malais se retrouve divisé en deux.

Les Néerlandais lancent ce qu’ils nomment la politique éthique. Elle inclut des réformes politiques mineures et l’éducation des populations indigènes.

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La paix à Java permet également aux Hollandais de soumettre progressivement les différents États princiers du reste de l’archipel, à SumatraEn 1908, la fin de la conquête de Bali et de la guerre d’Aceh parachève la formation des Indes néerlandaises.

Contrairement aux autres puissances coloniales, les Néerlandais ont peu laissé d’héritage linguistique dans leur colonie.

Mouvement national

On considère que la création, cette même année, du Budi Utomo par de jeunes nobles javanais marque le début du mouvement national indonésien. Un « Serment de la Jeunesse » est prononcé en 1928, émettant le vœu de créer une patrie indonésienne.

Seconde Guerre mondiale

Le 8 décembre 1941, le Japon, État faisant partie de l’Axe, envahit l’Indonésie alors que les Pays-Bas sont envahis par l’Allemagne. La politique d’occupation du Japon oblige  4 millions d’indigènes d’être employés dans des travaux forcés comme le « chemin de fer de la mort ». Quant aux colons néerlandais, métis ou autre ressortissants occidentaux, ils furent déportés dans des camps où le taux de mortalité était de 25 %. À la fin de la guerre, 10 % des 350 000 occidentaux (principalement Néerlandais) moururent.

Indépendance

Deux jours après la capitulation du Japon, le 17 août 1945, Soekarno et Mohammad Hatta proclament l’indépendance du pays et deviennent respectivement le premier président et le premier vice-président du pays le 27 décembre 1949,  la création de la république des États-Unis d’Indonésie. Les Pays-Bas reconnaissent l’indépendance partielle du pays.

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Période Soekarno

Les années 1950 sont marquées par de nombreuses rébellions séparatistes Soekarno est obligé de composer avec deux formations importantes dans les pays : les forces militaires et le parti communiste indonésien . Au cours des années 1960 Soekarno infléchit sa politique vers le communisme en instituant le principe du Nasakom.

Soeharto prend le pouvoir en 1966 et le garde plus de 30 ans.

Période Soeharto

Dans les années 1960, les tensions montent dans la population, et plus encore dans l’armée entre conservateurs et procommunistes.

Rapidement le parti communiste est interdit et les militants et sympathisants communistes massacrés de façon systématique. Le nombre de victimes des massacres qui s’ensuivent est estimé entre 500 000 et 3 millions de personnes. Plus d’un million de personnes sont détenues sans procès pendant des années, pour beaucoup torturées.

En mars 1966, Soeharto force Soekarno, dont la force politique est affaiblie, à lui transférer le pouvoir. Celui-ci est nommé officiellement président en mars 1968 avec le soutien du gouvernement américain.

Pendant les trente années suivantes, Soeharto exerce un pouvoir dictatorial. deux cents villages « infectés » de communistes sont purgés par l’armée, sans doute au prix de 6 000 victimes environ. En décembre 1975, l’Indonésie envahit et annexe l’ancienne colonie portugaise du Timor oriental, soumettant la population locale à une terrible répression. Les massacres causent la mort d’environ 200 000 Timorais, soit le quart de la population du pays.

Illustration.

Construction démocratique

En 1997 et 1998, l’Indonésie est le pays le plus touché par la crise économique asiatique. Comme les autres pays asiatiques, l’Indonésie fait face à un afflux massif de capitaux étrangers qui se retirent ensuite, déstabilisant la monnaie puis l’économie des pays.

Le mécontentement populaire s’amplifie et mène aux émeutes de Jakarta de mai 1998. Soeharto démissionne et son vice-président, Bacharuddin Jusuf Habibie, devient président.

En août 1999 se tiennent les premières élections démocratiques d’Indonésie depuis 1955. Celles-ci voient la victoire d’Abdurrahman Wahid, destitué en 2001. Sa vice-présidente, Megawati Sukarnoputri, la fille de Soekarno, prend alors la présidence.

Depuis 2000, l’Indonésie fait face à une vague d’attentats terroristes islamistes dont l’attentat de la Bourse de Jakarta en 2000 et celui de Bali en 2002. En 2004, grâce à un amendement de la constitution, se tient la première élection présidentielle au suffrage direct. Susilo Bambang Yudhoyono est élu président.

Le pays peine à se défaire de la corruption institutionnalisée qui prévalait sous le dictateur Soeharto et connaît encore de nombreuses affaires de corruption impliquant aussi bien les milieux d’affaires que les autorités.

Langues

L’Indonésie est le deuxième réservoir linguistique du monde, on en dénombre près de 700. Cette très grande variété de langues locales s’explique à la fois par la taille de ce pays, mais surtout par sa géographie : l’archipel indonésien regroupe près de 17000 iles, dont les plus grandes sont parcourues d’abruptes chaînes de volcans et de forêts tropicales. Cette disposition particulière explique l’isolement important de nombreuses populations et la persistances de leurs cultures, religion et langues locales à travers le temps.

Depuis son accession à l’indépendance, l’Indonésie emploie une seule langue pour l’administration et l’éducation : l’indonésien.

Religions

L’État reconnaît officiellement six religions : l’islam ( 87%), le protestantisme (7%), le catholicisme (3%) , l’hindouisme (1,7%), le bouddhisme et le confucianisme.

Arts traditionnels  

Les différents groupes ethniques d’Indonésie possèdent chacun une riche tradition. 

Architecture

L’architecture indonésienne,  a emprunté à de nombreuses sources : indienne puis chinoise et arabe et enfin européenne, tout en gardant ses caractéristiques propres.

Litterature

 Le poète indonésien Sapardi Djoko Damono propose de limiter le champ de la littérature indonésienne moderne aux textes imprimés, car l’imprimerie « marque la division entre les littératures ancienne et moderne».

L’Indonésie est une nation récente, qui a proclamé son indépendance en 1945.

On considère donc que la littérature écrite dès les années 1920 en malais, dans un perspective nationaliste indonésienne, est déjà une « littérature indonésienne ».

On peut inclure dans la littérature indonésienne celle écrite par des personnes que l’Indonésie considère comme participant du mouvement national. La plus éminente de ces personnes est Raden Ayu Kartini, aristocrate javanaise qui écrivait en néerlandais pour dénoncer la condition faite aux femmes javanaises de son époque.

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Litt%C3%A9rature_indon%C3%A9sienne

Peinture

Des peintures rupestres préhistoriques furent découvertes dans plusieurs sites en Indonésie. . Les peintures rupestres ont sont datées d’environ 40 000 ans.

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L’art de la peinture est développé à Bali. La tradition des peintures d’art balinais commence en tant que peinture narrative Kamasan ou Wayang, dérivé de l’art visuel de Java oriental découvert sur des bas-reliefs de candi de Java oriental.

Les peintures indonésiennes modernes sont lancées par Raden Saleh, un peintre arabo-javanais du dix-neuvième siècle réputé pour son œuvre romantique et naturaliste pendant la période des Indes orientales néerlandaises en Indonésie.

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Musique

La musique indonésienne est constituée de la musique propre aux groupes ethniques et religieux variés peuplant la république d’Indonésie, et de la musique que ses citoyens reconnaissent comme appartenant à l’ensemble de la nation.

Musique traditionnelle

Elle est représentée principalement par les musiques d’ensembles gamelan  de Bali, Java, Lombok, Kalimantan et Sunda, composés de 60 à 80 instruments de musique et dont chaque village possède sa variété. Beaucoup de ces musiques d’ensembles accompagnent les nombreuses formes théâtrales indonésiennes.

La musique instrumentale, gendhing, utilise les échelles pentatonique laras slendro et heptatonique laras pelog.

Plus d’infos sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_indon%C3%A9sienne

Danse

Quand on parle de « danse indonésienne », il faut distinguer es : les danses traditionnelles (religieuses, protocolaires, rituelles ou de cérémonies), qui sont propres à un groupe donné, et la danse au sens moderne, qui concerne l’ensemble de l’Indonésie.

Les danses indonésiennes sont très diverses,  chaque groupe ethnique a ses propres danses : il en existe environ trois mille! Les anciennes traditions de la danse et du théâtre sont préservées dans les écoles de danse, dans les cours ou à l’extérieur, publiques ou privées.

Théâtre

Le théâtre indonésien traditionnel englobe les spectacles de danse scénarisée, le théâtre masqué balinais et plus généralement le wayang.

Le wayang est un spectacle de marionnettes traditionnelles. Le wayang kulit est un théâtre d’ombre avec des marionnettes plates en cuir. Il a un aspect rituel et dure plusieurs heures (initialement toute une nuit) lors d’évènements importants : fête du village, mariages Il est surtout présent sur Java.

Artisanat

Textile et Tapis

Textile : l’ikat (tissage d’étoffes avec des motifs originaire de Nusa Tenggara mais répandu dans tout l’archipel), le songket (étoffe de soie entremêlées de fils d’or et d’argent), le tapis de Lampung ou encore le fameux batik (dessin avec de la cire et de la teinture sur les étoffes) javanais.

Poterie

La poterie se développe en Indonésie dès 400 avant notre ère . Des poteries en argile ont ensuite été développées . Des artefacts tels que des récipients pour aliments et boissons, datés de 400 BC à AD 100 sont découverts, principalement comme offrandes funéraires.

Du treizième au quinzième siècle, environ, le royaume de Majapahit développe son art de la terre cuite. 

La terre cuite de Kasongan est réputée pour ses faïences, vases et jarres, ustensiles de cuisine en terre, ensemble théière et tasses, figurines humaines et animales (par exemple, chevaux et éléphants) ainsi qu’une tirelire. Un art similaire de la terre cuite se développe aussi dans la région de Plered, près de Purwakarta dans l’ouest de Java.

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Sculpture, bijouterie

La sculpture sur bois est également très répandue en Indonésie. Ces sculptures avaient originellement pour but de protéger les maisons contre les mauvais esprits. Cette fonction est toujours présente.  Sur de nombreuses îles, des objets utilitaires sont sculptés en bois : des récipients en bambou à Sulawesi ou des bols en bois laqué à Sumatra par exemple. À Bali et Java en particulier, la fabrication de meubles ornés est très développée, notamment les meubles en teck , très recherchés. Les masques en bois sculptés sont très fréquemment utilisés lors de rites communautaires ou dans le théâtre.

Le travail du bronze en Indonésie a été introduit par la culture Dong Son (VIIIeIIIe siècle av. J.-C.]). L’apparition du travail du fer est plus tardif, en partie en raison de la rareté du minerai local, essentiellement d’origine météorique. À Java et dans les autres îles de l’ouest de l’archipel, on fabrique des kriss, dagues d’apparat à la lame droite ou sinueuse richement travaillées. La région d’Aceh est spécialisée dans la bijouterie, surtout dans le travail de l’or. À Bali, les bijoux sont davantage en argent. Le quartier de Kotagede à Yogyakarta, à Java, est spécialisé dans la création d’argenterie et principalement, d’argenterie de table.

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Gastronomie

Il s’agit  d’un ensemble de gastronomies régionales. L’influence des cuisines étrangères a fait changer la cuisine indonésienne au fil du temps. C’est tout d’abord la cuisine indienne qui l’a influencée, puis la cuisine chinoise. Enfin, ce sont les cuisines espagnole et portugaise puis finalement néerlandaise qui l’ont influencée.

Les Indonésiens consomment peu de porc  étant donné la prédominance de la religion musulmane dans le pays. Les plats sont confectionnés avec du poulet , du canard ), du bœuf ou du poisson.

Quelques plats emblématiques

Le Nasi Goreng

Le nasi goreng est désigné comme « plat national » de l’Indonésie. Il  signifie littéralement « riz frit ». C’est  un plat de riz frit dans de l’huile, assaisonné de kecap manis (sauce soja sucrée), d’échalote, d’ail, de tamarin, accompagné d’autres ingrédients, comme de l’œuf, du poulet et des crevettes.

Le Bali Guling

C`est tout simplement un cochon de lait rôti à  la broche qu`on a farci de piments, d`ail, de gingembre.

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Le Gado Gado

Le gado-gado est une spécialité culinaire indonésienne, consistant en une salade de légumes croquants nappés d’une sauce aux arachides.

En 2018, le gado-gado est promu comme l’un des six plats nationaux de l’Indonésie.

Image illustrative de l’article Gado-gado

Les îles de l’Indonésie ont tout pour plaire  : treks dans les rizières et les forêts tropicales ,  ascensions de volcans, découverte de nombreux  temples, rencontres avec les ethnies et un climat doux toute l’année, propice aux baignades à la découverte des récifs coralliens.

JAVA : le site de Borobudur

Borobudur est un des sites bouddhiques les plus importants au monde. Il  est un exemple unique de l’art indonésien du 9ème siècle. De proportions parfaites, le temple est  construit en blocs de pierres volcaniques.

De forme pyramidale avec des terrasses ouvertes, on peut admirer les sculptures de Bouddha dressées dans des stupas ouverts.  Il est très populaire, digne de comparaison avec les temples d’Angkor au Cambodge ou de Bagan en Birmanie. Pour compléter ce spectacle enchanteur, le site se trouve près du volcan Merapi, dans un cadre superbe  de palmiers et de rizières.

JAVA : le Volcan Bromo

Plusieurs volcans dominent le territoire de l’est de Java, au milieu des plantations de tabac et de café. Dans le parc national Tengger-Bromo-Semeru, le volcan Bromo,  grandiose et  sacré, culmine à 2 329 m d’altitude.

Rendez-vous à l’aube pour admirer le panorama époustouflant sur les montagnes fumantes, depuis un point de vue, par exemple près du village de Cemoro Lawang. Derrière le Bromo, le volcan Semeru complète ce paysage irréel en crachant sa fumée à intervalle régulier.  Prenez le temps de sillonner l’immense caldeira autour du Bromo. Dans cette mer de sable volcanique, on se retrouve tout petit face à des paysages lunaires aux proportions gigantesques.

JAVA : le cratère de Kawah Ijen

 

Le Kawah Ijen renferme le lac le plus acide de la planète. C’est une merveille volcanique. Son cratère culmine à 2 400 m d’altitude et  un paysage minéral et lunaire. Au sommet, le lac vert turquoise contraste avec les fumées de soufre remontant du  cratère. Les mineurs descendent dans les entrailles du volcan, près de 900 mètres plus bas, pour aller chercher quelques kilos de soufre. Faites l’ascension pendant la nuit pour observer le phénomène des flammes bleues, ou ou venez  tôt le matin  pour assister au spectacle magique du lever de soleil sur l’un des plus beaux volcans d’Indonésie.

JAVA : Le temple de Prambanan

Au pied du volcan Merapi  s’étend le site de Prambanan. C’est un  ensemble de plus 240 temples hindous  construit au 9ème siècle. Les plus remarquables ont été restaurés. Devant le temple hindou central, on est admiratif des proportions quasi parfaites de cette structure imposante dressée sur une plateforme rectangulaire immense.

BALI : l’archipel des îles Gili

Les plages paradisiaques les plus proches se trouvent ici: mer chaude et turquoise, récifs coralliens préservés, ambiance du bout du monde. C’est aussi un excellent spot pour s’adonner au snorkeling dans des fonds marins exceptionnels et nager au milieu des requins (inoffensifs), des raies et des tortues marines.

BALI: Les Celebes

 

La région de Sulawesi, anciennement les Célèbes, est un trésor indonésien peu connu. Dans les montagnes les croyances animistes sont encore pratiquées, mêlées à un peu de christianisme.

Les paysages de rizières en terrasses et les traditions locales toujours très vivaces ont fait la réputation de Sulawesi. Le pays Toraja est la destination culturelle par excellence en Sulawesi, connu pour ses maisons à l’architecture étonnante et ses cérémonies funéraires. Dans ce melange culturel, vous rencontrerez les Bugis, peut être les meilleurs marins d’Indonésie, qui construisent d’immenses bateaux traditionnels en bois.

Sumatra

 

Sumatra représente l’Indonésie authentique, celle d’une nature sauvage, refuge des orangs-outans et d’une végétation luxuriante. C’est aussi une mosaïque de peuples et d’ethnies : la culture Minangkabau, le peuple Batak du lac Toba, …

Le parc national de Gunung Leuser abrite de nombreuses espèces endémiques, dont le fameux orang-outan, littéralement « l’homme de la forêt ». C’est l’un des rares endroits dans le monde qui permet d’observer des orangs-outans à l’état sauvage, mais  aussi  la Rafflesia, la plus grande fleur au monde.

l’île de Lombok

C’est une ambiance plus rustique, une culture locale différente avec les Sasaks et une nature époustouflante. On vient à Lombok chercher des plages de sable blanc, plus difficiles à trouver à Bali.
L’ascension du volcan Rinjani est une randonnée incontournable en Asie, voire dans le monde. C’est un des plus beaux volcans à gravir, un des plus difficiles aussi.  Au sommet, vos efforts seront récompensés par un lac de cratère d’un bleu éclatant et une vue à couper le souffle sur les îles environnantes.

La Papouasie occidentale

La Papouasie occupe la moitié de l’île de la Nouvelle-Guinée. On voyage entre le monde asiatique et le monde pacifique, celui des prémices de l’Océanie. Autres cultures, autres peuples, autres univers.

Cette contrée vous surprendra aussi par ses reliefs, parmi les plus hauts d’Asie du Sud-est. Enfin, on vient jusqu’ici pour rencontrer les Papous, population d’environ 250 ethnies différentes. Ces peuples tribaux ont toujours un lien très fort avec la nature, que ce soit en mer ou dans les terres.

Les Raja Ampat, au nord-ouest de la Papouasie, sont le paradis des plongeurs venus du monde entier pour admirer une vie sous-marine parmi les plus diversifiées au monde. L’archipel des Raja Ampat, littéralement les 4 Rois, regorge aussi d’oiseaux et de paysages époustouflants. Plages idylliques, jardins de coraux multicolores, falaises karstiques recouvertes de forêts tropicales peuplées d’oiseaux du paradis.

La puissante montagne Rinjani de Gunung Rinjani est un volcan massif qui domine l’île de Lombok. Une ascension au sommet est l’une des expériences les plus exaltantes que vous puissiez vivre en Indonésie. Culminant à 3 726 mètres, le Gunung Rinjani est la deuxième plus haute montagne d’Indonésie. La montée au sommet n’est peut-être pas facile, mais elle en vaut la peine et est largement considérée comme l’une des meilleures vues du pays.

Faisant partie du célèbre « cercle de feu », cette montagne a également une signification spirituelle pour la population locale. On pense que le nom Rinjani vient d’un vieux terme javanais pour « Dieu ».

Gede pangrango National park

Le parc est l’une des plus anciennes réserves naturelles d’Indonésie. Débutant vers 1819 lorsque le gouvernement colonial néerlandais envisagea de construire un jardin botanique au pied des montagnes à Cibodas. De nombreux naturalistes avaient escaladé les pics jumeaux, entre autres Junghun qui a introduit la plante de quinine dans l’archipel. Il existe différents itinéraires de randonnée qui permettent aux visiteurs de traverser de Cibodas à Gunung Putri ou Selabintana, vice versa. Il faudra environ 8 à 10 heures de marche pour la vitesse moyenne. Les randonnées amèneront les visiteurs à travers le cerek chaud sulfurique, une prairie alpine et une forêt tropicale humide.

Mount Merbabu National Park

Le parc national du mont Merbabu est un parc national du centre de Java. La topographie de la région du parc national du mont Merbabu est principalement vallonnée à montagneuse avec une altitude d’environ 3 142 mètres et à certains endroits, il y a des ravins et des falaises très abruptes, comme le ravin de Sipendok dans la zone du village de Candisari.

Il existe trois zones floristiques dans le parc national du mont Merbabu :

La zone forestière de basse montagne est envahie par les types de Pinus merkusii et Schima wallichii ssp. noronhae.
Zone forestière de haute montagne  envahie par des espèces d’acacia, Albizia lophanta, Engelhardtia serrata, Casuarina junghuhniana et Quercus sp.
Zone de forêt subalpine  couverte d’herbes et d’edelweiss javanais.

Plusieurs types d’animaux : l’aigle faucon javanais, l’aigle noir, la crécerelle tachetée, l’aigle serpent huppé, la sauvagine, la colombe tachetée, la mésange, le muntjac, le porc-épic, la civette, le macaque à longue queue, le léopard javanais et autres.

Parc national Tengger-Bromo-Semeru

Le parc national de Bromo Tengger Semeru est un parc national situé dans l’est de l’île de Java . Il est constitué d’une région montagneuse dont le point culminant est le mont Semeru à 3 676 m, le plus haut sommet de Java. Le massif du Tengger et le mont Bromo font partie du parc.

 C’est la plus grande région volcanique de la province, et la plus magique!

 Un volcan actif, le mont  Semeru, culmine à 3 676 mètres. Découvrez la remarquable Tengger Caldera, la plus grande mer de sable de Java avec  10 km de désert, c’est magique!

Au sein de la caldeira, les cônes volcaniques fissurés de Batok et Bromo s’échappent de la fumée et sont en permanente évolution. Au sud du parc, on trouve un haut plateau vallonné, découpé par des vallées et parsemé de plusieurs petits lacs pittoresques, qui s’étendent  au pied du mont Semeru.

Parc national de Komodo

Ces îles volcaniques sont habitées par une population d’environ 5 700 lézards géants, dont l’apparence et le comportement agressif les ont fait surnommer les « dragons de Komodo ». On ne les trouve nulle part ailleurs et ils présentent un grand intérêt scientifique pour l’étude de l’évolution. Les collines rocailleuses couvertes d’une savane sèche parsemée d’épineux font un extraordinaire contraste avec les plages de sable à l’éclatante blancheur et les vagues bleues se brisant sur les coraux.

Parc national de Kelimutu

Le parc national de la montagne de Kelimutu est le plus petit parmi de six parcs national dans le couloir entre Bali et l’ile de Nusa Tenggara. Il y a trois lacs sur cette montagne ». Chaque lac a ses propres couleurs. On peut  imaginer qu’ils portent  des « âmes mortes », tellement leurs aspects changent bizarrement!
Le lac de Kelimutu n’est pas prévisible: parfois, les couleurs sont bleus, verts, et noirs. Une autre fois, elles  tournent au blanc, rouge et bleu. Une fois  un voyageur a vu qu’un des autres lac s’était changé au brun foncé, comme une  bassine  de chocolat! Et au sud, un autre  lac était rouge, et le centre était bleu.
Ce parc national protègent 19 animaux endémiques et menacés. Il y a aussi le Punai Floresian(Treron Floris), le hibou de wallace (Otus Silvicola), le kancilan floresian (Pachycephala nudigula).

Bawah Reserve

Les propriétaires  ont  la volonté  de préserver ce petit bijou à travers une démarche véritablement durable. Ils vous accueillent dans des suites au cœur de la forêt, sur la plage ou même sur pilotis ! L’atmosphère y est décontractée et très chaleureuse. On retrouve ce respect de la nature envoutante partout, de l’architecture à l’assiette.

Vous pourrez vivre une véritable robinsonnade de luxe pique-nique sur une plage privée au sable blond: plongée avec les poissons, sortie snorkeling, délassement autour de la piscine, trek dans la forêt, le soir venu, cocktail au coucher du soleil, avant d’observer les étoiles …

Rizières, montagnes, vallées et jungles tropicales, l’Indonésie offre des cadres magnifiques propices aux randonnées et aux balades pédestres. Il s’agit d’ailleurs d’un des meilleurs moyens pour découvrir une culture authentique, rencontrer des locaux et s’immerger dans leur quotidien et leur façon de vivre.  

Bali

L’île des Dieux propose des paysages idylliques, entourés de rizières, de montagnes, de lacs volcaniques. En randonnée, l’île est une  destination privilégiée des voyageurs qui ne veulent pas du  tourisme de masse pratiqué  sur les plages et dans les grandes villes. La campagne balinaise est dépaysante, en particulier en grimpant sur les monts Agung et Batur, deux des volcans les plus célèbres d’Indonésie.

Lombok

 L’île  déploie un cadre un peu plus sauvage et préservé que Bali, et est moins touristique.  Deux jours d’ascension permettent aux plus courageux d’atteindre le mont Rinjani. Les trekkeurs traversent ainsi une jungle imposante avant de pouvoir admirer les paysages magnifiques qui entourent le site naturel.

Java

Une destination intéressante pour un séjour trek. On recommande davantage le centre et l’est de Java, notamment pour ses temples, véritables monuments historiques, ses nombreux volcans et ses parcs nationaux.

Yogvakarta

La région de Yogyakarta demeure l’un des plus beaux endroits d’Indonésie, dominée par le Merapi. Vous y trouverez notamment les beaux temples hindous et bouddhistes de Prambanan et de Borobudur. A l’est, des paysages exceptionnels, avec des ascensions inoubliables sur les volcans Bromo et Semeru, une aventure  dépaysante !

Papouasie

Rares sont les voyageurs qui choisissent de venir découvrir la Papouasie, plus difficile d’accès que les autres îles indonésiennes.  Pourtant, la vallée de Baliem est l’une des dernières terres d’aventure d’Asie du Sud-Est. Les peuples Papous y vivent toujours, perpétuant leurs traditions tribales et leur mode de vie ancestral.

Sulawesi

Les visiteurs en voyage à Sulawesi peuvent notamment partir à la rencontre du peuple Toraja au milieu des montagne et d’une nature préservée. Leurs rites funéraires et l’architecture de leurs maisons invitent à l’immersion dans une culture fascinante.

Sumatra

Ceux qui aiment la jungle pourront également venir au parc national de Gunung Leuser à Sumatra. Véritable refuge pour la biodiversité indonésienne. Vous aurez peut-être la chance de rencontrer les orangs-outans, les éléphants, les tigres ou les rhinocéros endémiques de l’île. Le volcan Kerinci n’est pas la montagne la plus aisée à gravir mais la sensation obtenue une fois arrivé(e) à son sommet est incomparable.  

En Indonésie, si vous comptez voyager en train, sachez que le réseau ferroviaire n’est pas très étendu. Il est concentré sur l’île de Java, avec  2 lignes principales qui traversent l’île d’ouest en est. En dehors de Java, il y a également un réseau ferroviaire sur l’île de Sumatra.

Prendre le train reste intéressant pour rencontrer des locaux, un lieu d’échange intemporel, mais aussi admirer à son rythme les paysages, sans oublier que les gares sont dans les centre villes et évitent des déplacements inutiles.

En Indonésie,  il faut posséder un permis international. Il faut par ailleurs posséder également son permis d’origine.

Il faudra s’adapter pour la conduite à gauche !

La circulation est dense. On peut passer beaucoup de temps sur la route si l’on n’optimise pas son itinéraire de voyage. Avec des comportements  chaotique , non-respect du code de la route: il faut ré-apprendre à klaxonner !

On croise de tout sur la route, surtout des animaux , notamment les chiens, relativement nombreux , mais aussi des vaches, poules, ou autres.

LE SCOOTER

Le scooter permet de se faufiler plus facilement dans la circulation qu’une voiture, et la location coûtera moins cher également. On trouve d’ailleurs bon nombre de « petits » loueurs (des locaux qui louent un scooter en bord de route, dans un petit magasin) : la location est donc facile pour ce moyen de transport très répandu !

 

Retrouvez des informations complémentaires actualisées sur le Tourisme en Indonésie sur notre Blog Tourismer.io

Indonésie: BANDUNGAN VALLEY
Du 07/08/2023 au 18/08/2023
D2B46P8X
ENVI, EDU

Hameau de Clapar, village de Duren, district de Bandungan, Semarang Regency, est un hameau situé dans les hautes terres sur les pentes de la montagne Ungaran.

Ce hameau est le plus grand lieu de culture de chrysanthèmes du centre de Java. Les fleurs de chrysanthème produites par le hameau de Clapar ont été distribuées en dehors de l’île de Java. En plus d’être célèbres pour la culture des fleurs de chrysanthème, les habitants du village de Duren travaillent également comme agriculteurs, allant du riz, des piments, des tomates, des feuilles de moutarde, etc. C’est parce que la situation géographique du village qui se trouve dans les hautes terres est bonne pour l’agriculture. 

Présentation du programme :

Les volontaires auront principalement des travaux agricoles en aidant un agriculteur local. De plus, avant le travail, les volontaires auront une journée d’orientation sur la façon de faire l’agriculture et recevront des informations sur l’histoire du village, afin que les volontaires acquièrent vraiment beaucoup de connaissances à ce sujet et sur le processus de l’agriculture. Les volontaires vivent dans la communauté locale du village de Duren. Ils ont aussi des activités dans l’école locale avec les élèves locaux. Ils expliqueront aux étudiants comment préserver l’environnement et organiseront des activités telles que des concours d’étudiants, des échanges culturels, etc.

https://www.servicevolontaire.org/mission-volontariat/fr/indonesie/