VOYAGE OCEAN INDIEN by TOURISMER

Voyage responsable INDE

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Voyage responsable en Inde

L’Inde ne laisse jamais indifférent. Majestueusement dépaysante, foisonnante et contrastée, cette destination est sans nul doute l’une des plus envoûtantes qui soit. Des jungles luxuriantes à l’effervescence de ses villes, en passant par ses cités royales flamboyantes et sa cuisine parfumée, les nombreux contrastes qui caractérisent l’Inde séduisent et déroutent ses voyageurs. 

 On visite le nord du pays pour se perdre dans ses paysages éblouissants, où de somptueux palais se laissent dévorer des yeux. En immersion chez l’habitant, vous découvrez les us et coutumes de vos hôtes.

 

Voyage responsable en INDE

Les hindous respectent naturellement toute vie animale et, que ce soit pour des raisons religieuses ou touristiques, la préservation des animaux est réellement inscrite dans les habitudes. La pression démographique étant très forte, la création de nombreux parcs et sanctuaires animaliers s’est imposée comme une évidence en Inde pour organiser un Tourisme responsable.

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Prehistoire

Les premières colonies d’humains modernes en Inde sont estimées à des dates entre 60 et 70 000 ans. Les plus anciennes traces humaines trouvées en Asie du Sud remontent à environ 30 000 ans. Au début de l’Holocène, l’Asie du Sud est un continent de chasseurs-cueilleurs.

Autour de 7 000 av. J.-C., la première installation néolithique apparaît sur le sous-continent à Mehrgarh et dans d’autres sites dans l’ouest du Pakistan. Pendant et après la période néolithique, les agriculteurs dominent la terre, en particulier les vallées fluviales fertiles.

Epoque védique

Durant le IIe millénaire av. J.-C., des tribus de pasteurs parlant une langue indo-européenne envahissent le sous-continent à partir du nord-ouest. En s’installant dans la vallée gangétique, elles assimileraient les cultures précédentes.

C’est durant cette période de l’histoire de l’Inde que les textes hindouistes canoniques, tels que les quatre vedas, les Brahmanas, les Aranyaka et les Upanishad sont composés en sanskrit védique, une forme du sanskrit. La culture associée à cette période, parfois désignée comme la civilisation védique, se développe au nord et au nord-ouest du sous-continent indien.

La première partie du Moyen Âge indien, entre 600 et 1200, se caractérise par des royaumes régionaux et une grande diversité culturelleAucun dirigeant de cette époque n’est capable de créer un empire et de contrôler des territoires au-delà du cœur de son royaume. Dans le même temps, les peuples pastoraux, dont les terres sont utilisées pour la croissante économie agricole, sont intégrés dans la société de castes, à la suite de quoi le système des castes commence à voir émerger des différences régionales.

Moyen Âge indien

Aux VIe et VIIe siècles, les premiers hymnes de dévotion sont créés en tamoul. Ils sont imités à travers toute l’Inde et provoquent une résurgence de l’hindouisme et le développement des langues modernes du sous-continent. Au cours des VIIIe et IXe siècles, la culture et le système politique indiens se répandent en Asie du Sud-Est, dans ce qui est aujourd’hui la Thaïlande, le Laos, le Cambodge, la Malaisie et Java.

Après le Xe siècle, les clans nomades musulmans d’Asie centrale, avec leur cavalerie et leurs vastes armées, pénètrent régulièrement dans les plaines du nord-ouest, ce qui aboutit en 1206 à la création du Sultanat de Delhi. Le Sultanat réussit à contrôler la majorité de l’Inde du Nord et à pénétrer dans le Sud. Cette invasion est d’abord perturbante pour les élites locales, cependant le Sultanat s’accommode de sa population majoritairement non-musulmane et en préserve les lois et traditions. En repoussant les raids mongols au XIIIe siècle, le Sultanat protège l’Inde des dévastations connues dans l’ouest et le centre de l’Asie. Pendant des siècles, des soldats, érudits, mystiques, commerçants, artistes et artisans de ces régions trouvent refuge dans le sous-continent, contribuant à l’émergence d’une culture indo-islamique syncrétique dans le nord. L’affaiblissement des royaumes du sud par le Sultanat permet l’émergence de l’Empire de Vijayanagara. Adoptant une forte tradition shivaïte et apprenant des traditions militaires du Sultanat, l’empire parvient à contrôler la majorité de l’Inde péninsulaire et influence fortement la culture du sud de l’Inde

Débuts de l’Inde moderne

Au début du XVIe siècle, l’Inde du Nord tombe aux mains d’une nouvelle génération de guerriers d’Asie centrale. L’Empire moghol qui en résulte ne supprime pas la société locale mais, au contraire, l’équilibre et la pacifie par de nouvelles pratiques administratives et l’émergence d’une nouvelle élite . Cela n’empêche pas l’Empire moghol de s’en prendre à piller des lieux sacrés du bouddhisme et à imposer l’islam dans certaines régions. Le commerce avec l’Occident se développe via Anvers, première place financière mondiale, qui fait transiter vers l’Inde les métaux précieux de l’Amérique.

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Grâce aux liens tribaux et à l’identité islamique, spécialement sous Akbar, les Moghols unifient leur État par la loyauté, exprimée par une culture persanifiée, à un empereur au statut quasiment divin.

La paix relative maintenue par l’empire durant presque tout le XVIIe siècle est un facteur d’expansion économique pour l’Inde et voit émerger des nouvelles formes de peinture, de littérature, de textiles et d’architecture. Des groupes sociaux cohérents émergent alors dans le nord et l’ouest de l’Inde, comme les Marathas, les Rajputs et les Sikhs.

Periode coloniale

Au début du XVIIIe siècle,  des compagnies de commerce européennes, notamment la Compagnie britannique des Indes orientales, établissent des comptoirs sur les côtes.

Au cours des années 1820, la Compagnie s’appuie sur les richesses du Bengale pour accroître la puissance de son armée et annexe ou domine la majeure partie de l’Inde. Cette domination marque le début de la période coloniale : l’Inde cesse d’exporter des biens manufacturés et devient un fournisseur de matières premières pour l’Empire britannique.

Cependant, le mécontentement envers la Compagnie grandit pendant cette période et aboutit à la Rébellion indienne de 1857. Nourrie par divers ressentiments, notamment par les réformes sociales des Britanniques, de dures taxes foncières et les traitements sommaires des propriétaires et des princes, la rébellion traverse de nombreuses régions du nord et du centre de l’Inde et menace la domination de la Compagnie. Matée en 1858, la rébellion conduit à la dissolution de la Compagnie et à l’administration directe de l’Inde par la couronne britannique.

Dans les décennies qui suivent, une vie publique commence à émerger et, en 1885, est créé le Congrès national indien.Entre les années 1870 et 1890, près de trente millions d’Indiens meurent de famines successives. Le degré de responsabilité de l’administration coloniale britannique est sujet à controverses entre historiens,

Après la Première Guerre mondiale, dans laquelle un million d’Indiens servent, une nouvelle période commence, marquée par des réformes des Britanniques mais également par une législation répressive et des appels répétés pour l’autodétermination et les débuts du mouvement non-violent de non-coopération dont le Mahatma Gandhi devient le leader et le symbole.

Le mouvement pour l’Indépendance aboutit le . Mais le pays subit une partition sanglante et le sous-continent est divisé en deux États : l’Inde et le Pakistan.

Inde indépendante

La constitution de l’Inde entre en vigueur en 1950, elle fait alors du pays une république parlementaire fédérale et démocratique. Depuis, l’Inde est demeurée une démocratie, la plus peuplée du monde : les libertés civiles sont protégées et la presse est largement indépendante. La libéralisation économique commencée dans les années 1990 a permis la création d’une large classe moyenne urbaine et a fait de l’Inde l’un des pays au taux de croissance le plus élevé au monde.

Cependant l’Inde est toujours touchée par une importante pauvreté urbaine et rurale, par des conflits et violences religieuses ou de caste, par les rébellions des naxalites et des séparatistes au Jammu-et-Cachemire.

Des conflits opposent toujours l’Inde avec la Chine et le Pakistan au sujet des frontières. Ces conflits ont abouti à la guerre sino-indienne de 1962 et à trois guerres indo-pakistanaises en 1947, 1965 et 1971.

Langues

Les langues en Inde sont très diverses. Le dernier recensement  a comptabilisé 270 langues maternelles dans le pays, dont 122 langues importantes. La Constitution indienne reconnaît 22 langues officielles. 77 % des Indiens parlent une langue indo-aryenne (dont la plus parlée du pays, le hindi, est la langue maternelle de 422 millions d’Indiens, soit 41 % de la population), 20 % une langue dravidienne. Les autres familles représentées sont les langues austroasiatiques, sino-tibétaines et tai-kadai ainsi que quelques autres.

L’anglais, langue du colonisateur britannique, est parlé en première ou seconde langue par 12 % de la population.

La langue officielle du gouvernement central est le hindi. L’anglais  est  la seconde langue officielle. 

En outre, vingt-deux langues officielles sont listées dans la Huitième Annexe de la Constitution.

Religions

Les religions en Inde se caractérisent par une diversité des pratiques et des fois. Le pays est le lieu de naissance de l’hindouisme, du bouddhisme, du jaïnisme et du sikhisme et accueille de longue date le judaïsme, le christianisme, l’islam et le zoroastrisme.

Selon le  dernier recensement , l’hindouisme est  la religion la plus pratiquée : elle regroupe plus de 966 millions de fidèles, soit 79,9 % de la population. L’Inde compte 172,2 millions de musulmans, soit 14,2 % de sa population, ce qui en fait le troisième pays en nombre de pratiquants ou de pratiquantes au monde après l’Indonésie et le Pakistan. Les chrétiens, dont certains font partie des plus anciennes communautés chrétiennes du monde (chrétiens de saint Thomas), sont 27,8 millions (2,3 % de la population). Les Sikhs, qui habitent en majorité au Penjab, sont 20,8 millions (1,7 % de la population). Les bouddhistes sont 8,4 millions (0,7 % de la population) et les jaïns 4,4 millions (0,4 %).

Arts traditionnels  

Peinture

Les trois religions indiennes, le bouddhisme, l’hindouisme et le jaïnisme ont  leur propre école de peinture pour soutenir leurs traditions religieuses.
La peinture Mandala (à partir du Ier siècle apr. J.-C.) est utilisée pour évoquer les dieux et pour la méditation.

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La peinture préhistorique comme les peintures rupestres trouvées à Bhimbetka qui datent pour certaines de – 30 000 ans.

La peinture corporelle était utilisée à l’aube de l’humanité pour impressionner l’ennemi sous forme de peinture de guerre ou de signe de reconnaissance au sein d’une tribu. Cette technique primitive était également utilisée comme camouflage pour la chasse ou simplement comme ornement.

La peinture sur rouleau (à partir du Ve siècle apr. J.-C.), avec l’école de Patta Chitra la plus connue, se présente sous la forme de feuilles de papier cousues ensemble et parfois collées sur une toile. Leur largeur varie de 10 à 35 cm et leur longueur est rarement inférieure à 1 m et peut dépasser 5 m.

La peinture murale (à partir du IIe siècle) se présente sous forme de grandes œuvres exécutées sur des murs, comme dans les grottes d’Ajanta ou et le temple de Kailashnath.

La peinture miniature (à partir du Xe siècle) est exécutée à très petite échelle pour des livres ou des albums sur des matériaux périssables tels que le papier et le tissu.

L’art de la peinture miniature a atteint son apogée à l’époque moghole islamique et a été conservée par les peintres de différentes écoles de peinture du Rajasthan.

Le Bengale et Calcutta a eu un rôle majeur dans le développement de l’art moderne et de l’art contemporain en Inde, avec des écoles d’art et des mouvements comme le « Kalighat », « l’École du Bengale », « Santiniketan », « Calcutta Group », « Society of Contemporary Artists » et « Calcutta Painters’ Group».

La peinture métropolitaine contemporaine a subi de nombreux changements grâce aux progrès de l’économie, les formes et les styles d’art.

La peinture corporelle

Les couleurs utilisées pour la fête de Holi ont chacune une signification particulière : le vert représente l’harmonie, l’orange l’optimisme, le bleu la vitalité et le rouge la joie et l’amour.

La peinture vernaculaire contemporaine est  ancrée en dehors de grandes métropoles. Il existe des traditions de peinture chez plusieurs tribus, les écoles tribales. Certains sont très anciennes. Leurs artistes, qui sont normalement animistes, illustrent les traditions tribales et les dieux incarnés dans la nature et dans la vie quotidienne. Les autres écoles rurales ont plutôt leur base dans les traditions rurales et régionales.

Musique

Depuis les temps les plus anciens, la musique a toujours eu en Inde une double vocation : l’une destinée au temple et aux dieux, l’autre réservée au divertissement et aux démons. Cette dichotomie a séparé les instruments et les musiciens de manière radicale, jusqu’à créer des castes spécifiques.

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Selon la mythologie indienne, la musique a une origine divine : c’est par le son que le dieu Brahmâ a créé l’univers. Le dieu Shiva jouait quant à lui du tambour damaru, et son fils Ganesh jouait lui, comme Hanuman d’ailleurs, du tambour mridang. La déesse Sarasvati, elle, est toujours associée à la vînâ. L’univers a été créé par le son primordial Ôm ; le langage dérive des sons du tambour.

Dans le Sud, la musique carnatique s’est développée, se distinguant de la musique de temple et s’intégrant de plus en plus à la danse bharata natyam. très vite, les musiciens jouent et improvisent ensemble, selon des formules mathématiques.

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Au Nord, la musique hindoustanie s’est développée sous l’influence de l’islam et des Moghols, apportant avec eux le monde arabo-perse,  Le musicien principal commence tout concert par une longue introduction en solo (âlâp). Ce n’est que plus tard que la percussion le rejoint (gat), ponctuant la musique par des phrasés improvisés ou préétablis. Là aussi, la musique s’est intégrée à la danse kathak.

La musique classique de l’Inde repose en grande partie sur l’improvisation, en ce sens qu’elle n’est pas jouée à partir d’une partition. Cependant il y a des règles très strictes sur la manière d’improviser, et bien des musiciens apprennent par cœur des passages entiers de telles ou telles mélodies ou structures mathématiques, afin de pouvoir s’en servir à dessein.

La musique indienne n’est pas orchestrale, mais essentiellement soliste.

Danse

La danse en Inde connaît de nombreux styles, généralement considérés comme classiques ou folk. Comme les autres aspects de la culture Indienne, les différentes formes de danses sont originaires des différentes régions de l’Inde, élaborées selon les traditions locales et également puisées dans des éléments provenant d’autres parties du pays.

Depuis l’origine, la danse indienne est essentiellement un acte religieux, propitiatoire. Selon la tradition, la danse a été inventée par le dieu Shiva et son épouse Parvati. Shiva est lui-même représenté comme le roi dansant  qui a inventé le tandavam, une danse cosmique prototype des danses masculines. Parvati a inventé le lasya, une danse qui symbolise les émotions de l’amour, modèle des danses féminines voluptueuses.

Littérature

La littérature indienne est riche de son très ancien corpus de contes et d’épopées, et d’une littérature moderne et contemporaine, d’une grande diversité linguistique.

  • Littérature en sanskrit:on citera Kâlidâsa, considéré comme le Shakespeare du sanskrit, qui  a écrit des pièces très fameuses comme Râghuvamśha ou Shâkuntalâ

  • Littérature en prâkrit :  le plus fameux est le pāli dans lequel ont été écrites de nombreuses œuvres telles que des écrits philosophiques ou religieux, notamment bouddhistes, de la poésie ou encore des traités de grammaire.

  • Littérature en tamoul classique:e tamoul est considéré (après le sanskrit) comme la deuxième langue classique de l’Inde. L’âge d’or de cette littérature, et notamment la poésie, se situe probablement entre le Ier siècle et le IVe siècle.

  • La littérature en hindî est abondante dès le XIe siècle, bien que la langue ne soit encore qu’un dialecte. Il faut attendre le XVesiècle pour que la langue soit fixée, notamment par les œuvres des philosophes Kabîr ou Râmânanda.

  • La litterature au bengali à partir du XIVe siècle, alors que le sanskrit est la langue des écrits religieux, le bengalî devient la langue de la connaissance, avec des auteurs comme Krittibâs, Mâlâdhara Basu ou encore Khâshirâm Dâs. 

Théatre

Le théâtre indien traditionnel est entièrement codifié et symbolique, et intimement lié à la danse et à la musique. L’art dramatique indien recherche à mener le spectateur vers un état de sérénité et de jouissance esthétique.

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Les dialogues entre les personnages, combinent tantôt des parties en prose, tantôt des parties en vers, . Les sources d’inspiration traditionnelles se trouvent dans la mythologie et la religion. Le Mahābhārata et le Rāmāyaṇa, par exemple, constituent un réservoir d’épisodes souvent mis en scène. 

La civilisation de la vallée de l’Indus

ou civilisation harappéenne, du nom de la ville antique de Harappa, est une civilisation de l’Âge du bronze dont le territoire s’étendait autour de la vallée du fleuve Indus, dans l’ouest du sous-continent indien (le Pakistan moderne et ses alentours). Sa période dite « mature » va d’environ 2600 av. J.-C. à 1900 av. J.-C., mais plus largement ses phases successives vont au moins de la fin du IVe millénaire av. J.-C. au début du IIe millénaire av. J.-C .

Barque en terre cuite en forme de taureau, et figurines féminines. Période de Kot Diji (v. 2800-2600 av. J.-C.). Collection privée[132].

Cette civilisation se développe à partir d’un foyer néolithique situé à l’ouest de l’Indus, au Baloutchistan, au VIIe millénaire av. J.-C.. La vallée de l’Indus commence à se peupler de groupes d’agriculteurs et éleveurs sédentaires autour de 4000 av. J.-C. S’ouvre ensuite la période harappéenne ancienne, ou ère de régionalisation, pendant laquelle la vallée de l’Indus et les régions voisines sont partagées entre plusieurs horizons culturels. C’est à partir de la culture de Kot Diji, vers la fin du IVe millénaire av. J.-C. et les premiers siècles du IIIe millénaire av. J.-C., que se met en place la civilisation de l’Indus à proprement parler, qui émerge en intégrant les différentes cultures voisines.

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Dans sa phase mature, de 2600 à 1900 av. J.-C. environ, elle couvre un territoire nettement plus vaste que les civilisations contemporaines de Mésopotamie et d’Égypte, qui s’étend dans la plaine de l’Indus, une partie du Baloutchistan, le réseau Ghaggar-Hakra, la région d’interfluve entre les réseaux de l’Indus et du Gange, et au Gujarat. C’est une civilisation urbaine, dominée par plusieurs grands centres (Mohenjo-daro, Harappa, Dholavira, Ganweriwala, Rakhigarhi) à l’urbanisme planifié. Ils comportent en général une citadelle qui sert sans doute de cadre à un pouvoir politique dont la nature exacte reste mal connue.

Description de cette image, également commentée ci-après

Les spécialités culinaires indiennes

La gastronomie indienne s’impose par ses notes pimentées et épicées. Les premiers jours en Inde sont souvent  assez difficiles pour nos palets peu habitués à ce type de cuisine, mais les papilles s’accoutument finalement rapidement .  l’Inde excelle dans les plats à base de légumes , un paradis pour les végétariens! par exemple  les dal de lentilles corail, les palak paneer ou les currys agrémentés de lait de coco.

Quelques plats emblématiques

Thali

Un thali est un repas indien et népalais dont la composition diffère d’une région à l’autre. Il s’agit d’un assortiment de plats (de l’entrée au dessert) servis généralement dans de petits récipients en métal disposés sur un plateau rond, également en métal. Le prix en est généralement modeste et les plats nourrissants.

Dans le sud de l’Inde, le plateau est remplacé par une feuille de bananier sur laquelle sont disposés directement les mets. En Inde du Nord, on utilise parfois des thali jetables en plastique. Comme la tradition indienne n’utilise pas de couverts, on mange de fait avec la main droite.

Il existe des thali végétariens ou non végétariens. Les deux proposent généralement du riz et/ou du pain, différent selon la région (naans, chapatis, paratha, puri…), un chutney, du dal (lentilles), des légumes, de la viande ou du poisson (pour les thali non végétariens) et un dessert, généralement à base de lait et souvent assez sucré.

Un thali non végétarien.

 Le temple d’Or

Hamandir Sahib (Golden Temple).jpgLe temple d’Or est le nom informel du Harmandir Sahib signifiant « l’Illustre Temple de Dieu », l’édifice le plus sacré des sikhs, situé au cœur de la ville d’Amritsar, au Punjab, . Le nom de « temple d’Or » est dû à sa couverture dorée.

Il trône au centre d’un « bassin sacré », l’Amrit Sarovar (ou « bassin au Nectar »), qui, tel un lac, attire à lui toutes les eaux comme le temple attire tous les disciples. Le bassin a été creusé durant le dernier quart du XVIe siècle au moment de la fondation de la ville à laquelle il a donné son nom.

Le temple est entouré d’un vaste complexe comprenant des lieux de culte sikh avec l’emblématique « trône de l’Immortel », des réfectoires où des repas gratuits sont offerts aux pèlerins, un musée, etc.

Après avoir emprunté une promenade faite de marbre blanc, le visiteur ou le pèlerin entre dans le cœur du temple par un pont en marbre de 60 mètres de long.

Le temple est un majestueux pavillon de trois étages, dont les parties supérieures ont été recouvertes de plaques et de feuilles d’or au XIXe siècle sur ordre du mahârâja Ranjît Singh. L’édifice a été construit en marbre de différentes couleurs, incrusté de nacre et de pierres semi-précieuses.

Le temple d’Or renferme le livre sacré des sikhs, le Guru Granth Sahib, lui-même enfermé dans un coffre richement orné.

le palais de Mysore

Mysore Palace Morning.jpgLe Palais de Mysore est  un palais historique et une résidence royale : C’est la résidence officielle de la dynastie des Wodeyar et le siège du Royaume de Mysore.

Le style architectural des coupoles du palais est un mélange des styles des architectures indienne, islamique, moghole et néo-gothique.

Le palais précédent,  » palais de bois », a été réduit en cendres lors des festivités de Dusara de 1896.La construction du nouveau palais  a été achevée en 1912.

Il y a de nombreuses  salles remarquables dont : la salle du trône,la salle des audiences privées,le pavillon des poupées, la salle des mariages.

Pondichery


undefinedColonie française jusqu’en 1954, ce fut la capitale de l’Inde française. Son intense activité portuaire est liée à son activité de tissage du coton.

Son passé français se retrouve dans le quartier français avec ses rues bordées d’arbres, ses villas coloniales couleur moutarde et ses boutiques haut de gamme. Une promenade au bord de l’eau longe le golfe du Bengale en passant devant plusieurs statues dont un mémorial de Gandhi de 4 m de haut.

 Le lac Chilika

Image illustrative de l’article Lac Chilika

C’est le plus grand lac d’Asie, la région du lac Chilika et le lac sont très beaux, c’est une zone protégée, Pour sortir des sentiers battus. Le lieu est authentique :  paysans et  pêcheurs se melent sur ses rives . Une sortie en bateau avec un guide s’impose :en fonction de la saison on peut  voir des oiseaux exotiques, et meme des dauphins, et a proximité un lieu ou  où les tortues Olive Ridley viennent pondre tous les ans.

 

 Le parc national Jim Corbett

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Ce parc est le plus ancien des parcs nationaux de l’Inde. Il est situé près de la ville de Nainital, dans l’État de l’Uttarakhand. Le parc est connu pour sa faune sauvage variée, ainsi que comme site de lancement du Projet Tigre. Le parc national Corbett et le sanctuaire de Sonanadi voisin forment la Réserve de tigres Corbett : en l’honneur de Jim Corbett, un célèbre chasseur devenu protecteur de la faune sauvage, qui se fit surtout connaître par ses chasses aux tigres et aux léopards mangeurs d’hommes dans les régions du Kumaon et du Garhwal dans les années 1920, et pour les récits qu’il fit par la suite de ses aventures, dans une série d’ouvrages comme Les mangeurs d’hommes du Kumaon et Le léopard mangeur d’hommes du Rudraprayag, qui devinrent de grands succès  dans le monde entier.

 Goa et ses  plages

Goa est un état de l’Inde occidentale dont les côtes s’étendent le long de la mer d’Oman. Des traces de son passé de colonie portugaise sont encore visibles dans les églises du XVIIe siècle et dans les plantations d’épices de la zone tropicale.

Goa est  célèbre pour ses plages, allant des villes populaires de Baga et Palolem à celles de villages de pêcheurs moins connus tels qu’Agonda. À Panaji, la capitale, les rues tortueuses du quartier latin regorgent de galeries d’art, de cafés et de maisons coloniales portugaises. Une mention particulière pour  le célèbre marché aux puces d’Anjuna et le bazar du soir qui se tient à Mackie pendant l’été. Sur la côte, le sanctuaire d’oiseaux Salim Ali offre une vue exceptionnelle sur l’écosystème de la mangrove . Se promener dans Goa à travers les petits villages, les sentiers  de jungle et admirer les nombreuses cascades.

Les grottes d’Ajanta

Entrée du chaitya no 19. Fin du Ve siècle.Ajantâ est un village de l’État indien de Maharashtra, près d’Aurangabad, célèbre pour son groupe de 29 grottes artificielles bouddhistes, creusées dans du basalte dur, dont trois inachevées ; des peintures et des sculptures remarquables les décorent.

Elles se classent en deux catégories, les premières servaient de refuge aux moines durant la saison des pluies, et les suivantes servaient plutôt de salles de réunion et de prière.

La richesse des couleurs, la souplesse des formes et la chaleur spirituelle des peintures murales d’Ajanta s’inscrivent dans une tradition qui a eu une influence sur l’art des temples à travers l’Inde et l’Asie du Sud-Est tout au long du millénaire suivant.

 New Delhi

undefinedDelhi a été la capitale de plusieurs empires indiens. Au début des années 1900, la proposition est faite de transférer l’administration de l’Empire britannique des Indes de Calcutta, jugée trop excentrée, vers Delhi.

L’architecture de New Delhi est ainsi un mélange de styles britannique et indigène, comme l’illustrent l’utilisation de grès beige et rose pour les nombreux bâtiments officiels et la construction de jardins d’inspiration moghole. Pour Jack Cardiff, la nouvelle ville se devait d’être « ni sarrasine, ni britannique mais résolument indienne, retenant les motifs de la vieille ville, mais les dignifiant d’une nouvelle austérité. »

A faire :

  • Visiter Jama Masjid, la mosquée de l’empereur
  • Se perdre dans les ruelles de Old Delhi
  • Déjeuner chez Karim
  • Flâner à Shahpur Jat
  • Visiter le Dargah de Nizamuddin
  • Dîner à Hauz Khas
 
Le Taj Mahal

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Le Taj Mahal signifie « la couronne du palais » — est situé à Agra, au bord de la rivière Yamuna.

C’est un mausolée de marbre blanc construit par l’empereur moghol musulman Shâh Jahân en mémoire de son épouse  connue sous le nom de Mumtaz Mahal, qui signifie « lumière du palais ».

Celle-ci meurt le en donnant naissance à leur quatorzième enfant, alors qu’elle accompagnait son mari pendant une campagne militaire.  La construction du mausolée s ‘achève dans sa plus grande partie en 1648. Son époux, mort le , est inhumé auprès d’elle.

Le Taj Mahal est considéré comme un joyau de l’architecture moghole, un style qui combine des éléments architecturaux des architectures islamique, iranienne, ottomane et indienne.

 La cascade de Dudhsagar

Dudhsagar est l’une des chutes les plus extraordinaires du monde situées sur la rivière Mandovi sur la frontière de Goa et Karnataka. C’est l’une des plus hautes cascades de l’Inde et elle est spectaculaire au cours de la saison de mousson. Vous pouvez voir l’Amaravati express traversant les chutes d’eau en pensant aux Indiens qui ont construit un chemin de fer dans cette zone!

Le Gange

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Le Gange est considéré comme sacré par les hindous : l’immersion dans le Gange libère le croyant de ses péchés et répandre des cendres dans le fleuve peut apporter un futur meilleur et même permettre d’atteindre le moksha ou délivrance, c’est-à-dire la sortie du monde phénoménal. Pour les hindous, l’eau du Gange possède la vertu de purifier le corps des humains et de libérer l’âme des défunts.

L’histoire raconte que c’est un roi qui cherchant la prospérité pour la terre, implora la déesse Ganga. Le roi Bhagiratha fut exaucé mais la déesse crut que les flots du Gange submergeraient la terre, c’est pourquoi elle les mit dans la coiffe d’un dieu : Shiva. Ce dernier libéra ensuite le fleuve de ses cheveux.

Quand un pèlerin se baigne dans le Gange, c’est le symbole de la recherche de l’union avec l’ultime vérité. Le Gange est pris comme fleuve apportant la sagesse spirituelle.

Les dévots hindous font des pèlerinages pour se baigner dans ses eaux et pratiquer la méditation sur ses rives. Plusieurs sites sacrés hindous se trouvent le long des rives du Gange, comme Haridwar et Bénarès.

 Le fort de Mehrangarh

Image illustrative de l’article Fort de MehrangarhSurnommé le fort magnifique, il  surplombe la ville du haut de ses 122 mètres. À l’intérieur de celui-ci se trouvent plusieurs palais richement décorés et agrémentés de nombreuses cours.

La position stratégique du fort permettait aux gardes d’avoir un meilleur poste d’observation dans le cas où la ville pouvait être attaquée. Il a fallu plus de dix années pour construire l’édifice. Plus de 10 000 ouvriers ont été réquisitionnés pour son édification, ainsi que 500 éléphants pour le transport des matériaux. Les architectes ont utilisé des roches volcaniques provenant du désert environnant : c’est ce qui donne la couleur caractéristique rouge du fort.

Le fort comporte quatre rangées de remparts, dont la hauteur peut atteindre jusqu’à 36 mètres. Ils font plus de 9,5 kilomètres de long. Chaque rempart comporte une douzaine de tours d’observation. Par ailleurs, il faut franchir sept portes pour pénétrer dans l’enceinte. Ce fort est réputé pour être imprenable.

 La région de Ladakh

Montagne, Glacier De Siachen, Glacier

Le Ladakh  est une région de culture tibétaine qui forme un territoire de l’Union indienne.

Également appelé le Petit Tibet, le Ladakh a pour religions principales le bouddhisme tibétain pour 40 % de la population et l’islam pour 46 % de la population . Sa ville la plus importante est Leh.

Les environs du Ladakh sont dominés par des montagnes irrégulières et arides. Historiquement, la région est un ancien royaume bouddhiste, qui est encore aujourd’hui rempli de pittoresques monastères bouddhistes tibétains appelés gompas; et de drapeaux de prière colorés contenant des messages spirituels.

Leh est l’une des principales villes touristiques du Ladakh. elle est souvent  choisiecomme base pour explorer le Ladakh. Leh est nichée à 3500 mètres d’altitude, il faut donc quelques jours pour s’acclimater à son altitude.

 Les ruines d’Hampi

Temple de Virupaksha à HampiL’ensemble monumental de Hampi est un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, il est le centre de la capitale éponyme de l’empire hindou Vijayanagara pendant le XIVe siècle. Les chroniques laissées par les voyageurs perses et européens, et en particulier par les Portugais, parlent d’une grande ville prospère . En 1500, Hampi-Vijayanagara était la deuxième plus grande ville de l’époque médiévale après Pékin, et probablement la plus riche de l’Inde à cette époque, attirant des commerçants persans et portugais.

Situés à Karnataka près de la ville moderne de Hospet, les ruines de Hampi s’étendent sur 4 100 ha regroupant plus de 1 600 restes du dernier grand royaume hindou du sud de l’Inde, qui comprend des « forts, des rives, des ensembles royaux et sacrés, des temples, des sanctuaires, des halls, mandapas, structures mémorielles, ouvrages hydrauliques et autres ». Hampi continue d’être un important centre religieux abritant le temple de Virupaksha, un monastère actif lié à Adi Shankara et divers monuments appartenant à la vieille ville.

 Les canaux de Kerala

Élevage de canards dans un canal

Les  Backwaters du Kerala, sont une série de lagunes et de lacs d’eau saumâtre , paysage typique de l’État du Kerala dans le Sud de l’Inde.

Le réseau, constitué de quelque 1 500 kilomètres de canaux, tant naturels qu’artificiels, inclut plusieurs grands lacs dont l’Ashtamudi et le Vembanad. S’étendant sur pratiquement toute la longueur de la côte du Kerala, il est alimenté par une quarantaine de fleuves côtiers descendant des Ghâts occidentaux. Les lagunes ont été constituées par l’action des vagues et des courants côtiers créant une barrière d’îles basses aux embouchures des fleuves côtiers.

Le port de Kochi – l’ancienne Cochin – est situé au débouché du Lac Vembanad avec la mer des Laquedives.

Reliées par les canaux creusés par la main de l’homme, les lagunes forment un réseau de transport de marchandises largement utilisé par l’économie locale. Les Backwaters sont aussi une importante attraction touristique du Kerala.Vous pourrez vous y promener en canoë ou en kettuvalom, anciennes barges à riz transformées en « bateau-hôtel » d’une ou deux cabines.

 Le désert du Thar

Lézard Bufoniceps laungwalaensis au Rajasthan en septembre 2016.

Le désert du Thar s’étend sur plus de 200 000 km² à l’ouest de l’Inde dans l’Etat du Rajasthan. Ce grand désert indien est un lieu tout indiqué pour faire  des  balades à dos de dromadaire. En route,  vous passerez par de charmants petits villages où vous pourrez rencontrer leurs habitants. Tout le charme de ce désert repose sur  ses paysages désertiques à perte de vue, un calme absolu et des rencontres authentiques .

 Le monastère de Tawang

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Le Monastère de Tawang dans l’Arunachal Pradesh est le plus grand monastère de l’ Inde. Il a été fondée par Merak Lama Lodre Gyatso en 1680-1681, conformément aux souhaits du 5ème Dalaï Lama.

Le monastère est situé très proche de la frontière tibétaine, dans la vallée de la Tawang-chu qui descend du Tibet.

Le monastère est haut de trois étages . Il est entouré d’un mur long de 610 m. Dans le complexe il y a 65 bâtiments résidentiels . Le monastère est également connu en tibétain comme le Galden Namgey Lhatse, « paradis céleste dans une nuit claire ». La bibliothèque du monastère possède des écritures anciennes précieuses, principalement Kanjur et Tanjur.

Le parc national de Bandipur

Un chital dans le parc.

Le parc national de Bandipur était  le terrain de chasse des maharajas de Mysore.
 Il appartient à une plus vaste réserve naturelle qui s’étend sur les états du Tamil Nadu (parc de Mudumalai) et du Kérala.
Le parc abrite quelques tigres, mais il faut s’armer de patience pour  les apercevoir. On peut tout de même se contenter  d’antilopes, de singes et de phacochères.

 
 
Darjeeling

Plantations de thé

Darjeeling est une ville de l’État indien du Bengale-Occidental , située dans les contreforts de l’Himalaya, évoluant entre 2 000 et 3 000 mètres d’altitude.

La région est particulièrement connue pour son thé. Le thé de Darjeeling est depuis le XIXe siècle l’un des plus appréciés des thés noirs, en particulier en Grande-Bretagne et dans les pays qui faisaient partie de l’Empire britannique.

En principe, la ville de Darjeeling peut être atteinte par le chemin de fer himalayen de Darjeeling (surnommé Toy Train, le « Train jouet ») en provenance de New Jalpaiguri , mais le service est extrêmement irrégulier car la voie est souvent emportée par des éboulements de terrain, en particulier durant la mousson. Le voyage, très pittoresque, dure de 5 à 6 heures pour une distance de 80 kilomètres.

 Les îles Andaman-et-Nicobar

Les îles Andaman et Nicobar sont encore assez méconnues mais elles deviennent de plus en plus touristiques. En effet, elles attirent pour leurs immenses plages (sur l’île d’Havelock, la «Beach Number 7» ou «Radha Nagar Beach» a été élue plus belle plage d’Asie par le Time Magazine) , leurs îles vierges et les opportunités pour les sports d’aventure comme la plongée sous-marine.

La capitale de l’archipel Port Blair possède des lieux de visites comme l’ancienne prison et ses cellules, le parc national marin Mahatma Gandhi, le complexe aquatique Andaman, le moulin à scie Chatham, le musée de la forêt ou encore le musée naval.

Voici une selection de 10 parcs nationaux:
Le Bandhavgarh National Park

Tigress in Bandhavgarh NP.jpgC’est l’un des parcs nationaux le plus populaire en Inde. Le parc tire son nom de Bandhavgarh de la butte la plus proéminente de la région, qui aurait été confiée par le dieu Rāma à son frère cadet Lakshmana pour surveiller Lanka l’île forteresse du légendaire roi démon Ravana. Le Fort de Bandhavgarh est construit sur cette colline.

Ce parc a une grande biodiversité. La densité de la population de tigres à Bandhavgarh est l’une des plus élevées en Inde et le parc a une grande population reproductrice de léopards, ainsi que diverses espèces de cerfs.

 
Parc national de Bandipur

2005 un éléphant dans le parc.Le Parc national de Bandipur est situé dans le sud de l’État du Karnataka en Inde. Il est contigu avec le Mudumalai National Park dans l’État voisin du Tamil Nadu, le Wynad Wildlife Sanctuary au Kerala, et le Nagarhole National Park au nord-ouest. On y trouve notamment des tigres.

 
 
 
 
 
 
 
Parc national de Gir

Gir lion-Gir forest,junagadh,gujarat,india.jpegC’est le seul endroit au monde où l’on peut encore trouver des Lions (Panthera leo) à l’état sauvage en dehors d’Afrique, ce qui en fait donc une zone importante.

Plus de 2 375 espèces animales distinctes dont environ 38 espèces de mammifères, environ 300 espèces d’oiseaux, 37 espèces de reptiles et plus de 2 000 espèces d’insectes ont été répertoriées. Les mammifères carnivores se composent principalement du lion d’Asie, des léopards, Chaus, hyènes, chacals, renard du Bengale, Mangouste. le Chat rubigineux peut y être aperçu, mais y est rare.

Les principaux herbivores de Gir sont le Cerf axis, l’Antilope Nilgaut, Sambar, l’Antilope tétracère, le gazelle d’Arabie et le sanglier. L’Antilope cervicapra de la région sont parfois vu dans le sanctuaire.

 
Parc national Jim Corbett

Corbett View.jpgLe Parc national Jim Corbett est le plus ancien des parcs nationaux de l’Inde. Il est situé près de la ville de Nainital, dans l’État de l’Uttarakhand. Le parc est connu pour sa faune sauvage variée, ainsi que comme site de lancement du Projet Tigre. Le parc national Corbett et le sanctuaire de Sonanadi voisin forment la Réserve de tigres Corbett. La faune sauvage du Parc national Corbett comprend notamment le tigre, l’éléphant asiatique, le chital, le sambar, l’antilope Nilgaut, le gavial du Gange, le cobra royal, le muntjac, le sanglier, le hérisson, le renard volant, le pangolin indien, et près de 600 espèces d’oiseaux. 

 
Parc national de Kanha

Tigre caché dans les bambousLe Parc National de Kanha, plus connu comme la « Réserve de tigres de Kanha », est l’un des sanctuaires réservés aux tigres de l’Inde et le plus grand parc national du Madhya Pradesh.

Kanha a été classé dans le top 10 des lieux incontournables pour les touristes. Le parc a une importante population de tigres du Bengale, de léopards indiens, d’ours paresseux, de barasinghas et de chiens sauvages indiens. Les forêts luxuriantes de sals et de bambous, les prairies herbeuses et les ravins de Kanha ont inspiré Rudyard Kipling pour son roman célèbre Le Livre de la jungle.

 
Parc national de Kaziranga

Kaziranga est une vaste étendue de hautes roselières, de prairies d’herbe à éléphants, de marécages et d’une forêt tropicale semi-sempervirente irriguée par quatre grandes rivières, dont le Brahmapoutre et ses nombreux bras morts. Kaziranga a été le thème de plusieurs livres, de documentaires et de chansons. Le parc a fêté son centenaire en 2005, après son classement en Reserved forest en 1905.

Ce parc a obtenu des succès plus notables dans la conservation de la faune que la plupart des autres aires protégées en Inde.

 
 
 
Parc national de Nagarhole

IndianElephant.jpgLe parc national de Nagarhole, également connu sous le nom de parc national Rajiv Gandhi, est une réserve sauvage qui s’étend sur 247 milles carrés dans le district de Kodagu à 89 kilomètres au sud de Mysore du Karnataka. C’est aussi l’un des parcs nationaux les mieux entretenus de l’Inde. 

Traversé par la rivière Kabini, le parc offre le spectacle de paysages aux charmes délicats,s au  petit matin ,avec une  belle lumière vive!

 
Parc national de Periyar

Kerala Backwaters - Inde

Le parc national de Periyar est une aire protégée situé dans l’État du Kerala . Le parc, souvent appelé Thekkady,  s’étend sur le flanc des Ghâts occidentaux, à la bordure du Tamil Nadu, dans les districts de Idukki et Pathanamthitta. La zone protégée, dont la partie centrale de 350 km2 constitue le parc proprement dit,est destinée à protéger les tigres, dans le cadre du programme Project Tiger.

Le centre du parc est occupé par le lac Periyar, un lac de retenue de 26 km2 formé par les eaux du barrage de Mullaperiyar en 1895.

Ranthambore National Park

Image illustrative de l’article Fort de RanthamboreStrié de cours d’eau, il déploie une mosaïque de milieux naturels : forêts touffues, affleurements rocheux, vastes étendues d’herbage.

Le Fort de Ranthambore dont la construction date du milieu du Xe siècle est un lieu important de l’évolution historique du Rajasthan. Il est célèbre en Inde pour la gloire et la vaillance du légendaire roi Hammiradeva (Hammir Dev Chauhan) de la dynastie Chahamana.

On trouve notamment des tigres dans le Parc national de Ranthambore. On y trouve également des hyènes, des ours lippus, des chitals, des chats sauvages, des crocodiles et plus de 250 espèces d’oiseaux.

Voici quelques idées de randonnées en Inde:

https://everipedia.org/wiki/lang_en/Indiahikes

 

 
Le train

Indian Railways est une des plus grandes compagnies ferroviaires au monde, et transporte chaque jour 17 millions de passagers et 2 millions de tonnes de marchandises.

Les grandes villes sont équipées de métro (Métro de Mumbai, Métro de Jaipur) ou de réseau de tramway (Tramway de Calcutta).

La  voiture

La route est le moyen de transport principal en Inde. La densité du réseau est de 0,66 km de route par kilomètre carré, ce qui la place au même niveau que les États-Unis, et bien supérieur à celui de la Chine.

Les accidents de la circulation en Inde sont une source majeure de mortalité, de blessures et de dommages matériaux!

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/72/Traffic_in_Kolkata.jpg

le transport traditionnel

Avant l’arrivée des moyens de transports modernes et le développement des infrastructures routières et ferroviaires, les déplacements se faisaient essentiellement à pied, puis à vélo, qui restent encore de nos jours le moyens les plus répandus dans les agglomérations. Des moyens traditionnels comme le rickshaw sont encore utilisés dans la plupart des villes.

 

 

Retrouvez des informations complémentaires actualisées sur le Tourisme en Inde sur notre Blog Tourismer.io

Goonj      
 
  Vers une agriculture durable avec l’agriculture communautaire

Going sustainable with community farming

Dans une tentative de résoudre les problèmes associés à la migration forcée et de créer des opportunités de subsistance, Goonj, avec son organisation partenaire, a développé un modèle durable et rentable d’agriculture communautaire pour aider les communautés locales de Beed (Maharashtra) sous le « Vaapsi » (Moyens de subsistance) de Goonj,  initiative visant à soutenir environ 160 personnes avec des semences et du matériel agricole en plus de les accompagner dans l’acquisition de 15 acres de terrain à bail et en contribuant au loyer de la première année.

https://goonj.org/category/livelihood/