Les projets qui retiennent notre attention associent parfaitement les quatre piliers du développement durable : économique, social, environnemental et institutionnel.
"Les pays en développement sont confrontés à une dégradation dramatique de leur environnement, laquelle constitue une menace grave pour leurs perspectives de développement à long terme. Les ressources naturelles font l’objet d’une exploitation irrationnelle qui ferme la voie aux options de développement futures." Source:OCDE
La dégradation de l’environnement est devenue une préoccupation croissante, à la fois des opinions publiques et des responsables politiques.
Un consensus se dégage progressivement sur le fait que la détérioration de l’environnement sape les bases du développement économique et qu’une intervention collective et coordonnée est nécessaire pour stopper ce fléau particulièrement dangereux dans les pays en développement.
Ces pays ont conservé un lien fort avec la nature, un sens de la résilience, une conscience de l’équilibre fragile de leurs écosystèmes et de leurs communautés, un sens de l’économie frugale propice au développement de l’économie circulaire et de l’économie symbiotique.
Si on leur permet ce développement en payant le prix juste et responsable des matières premières, si on accepte leur industrialisation verte, le développement de leurs capacités de transformation pour une consommation locale est autant que pour l’export et le développement de relations commerciales équilibrées.
Elles sont possibles parce que l’innovation et les technologies actuelles permettent justement de concilier l’un et l’autre, ainsi que les instruments financiers qui flèchent les fonds vers des investissements verts, responsables, à moindre impact sur la biodiversité et le climat.
A plus petite échelle, c’est un ensemble d’initiatives locales qui aboutit progressivement à la réalisation d’objectifs vertueux mais aussi à la prise de conscience définitive de tous!
