VOYAGE OCEAN INDIEN by TOURISMER
Voyage responsable Malaisie
La Malaisie occupe une partie de la péninsule Malaise et de l’île de Bornéo. Elle est réputée pour ses plages, ses forêts tropicales et ses influences culturelles malaises, chinoises, indiennes et européennes. Kuala Lumpur, la capitale, abrite des bâtiments coloniaux, des quartiers commerçants tels que Bukit Bintang et des gratte-ciel comme les emblématiques tours jumelles Petronas de 451 mètres de haut.
Pour l’instant, ce sont des mesures locales ou prises par des opérateurs locaux, par des hôtels qui ont obtenus la certification avec Earthcheck. A Bornéo, l’éco-tourisme est très présent avec notamment un programme d’incentives à Surawa où est proposé du volontariat pour aider les locaux, comme à Saba, à Sarawa, où il y a encore des populations tribales. Des hébergements en lodges écoresponsables sont proposés dans la forêt primaire et des séjours chez l’habitant pour découvrir le mode de vie des gens en immersion.
Nous soutenons
À l’origine, la Malaisie était une péninsule inhabitée, recouverte par une forêt vieille de 130 millions d’années ayant échappé à toutes les glaciations. Ce n’est que vers 10 000 avant J.-C. qu’arrivèrent les premiers aborigènes.
L’année 1511 marque la première présence européenne en Malaisie avec la prise de la ville de Malacca par le vice-roi portugais des Indes, Afonso de Albuquerque.
La prise de Malacca par les Portugais a pour conséquence : la rupture du réseau des marchands de l’Asie du Sud-Est insulaire et péninsulaire, et la christianisation de l’est de l’archipel indonésien.
En 1641, les Hollandais de la VOC « Compagnie hollandaise des Indes orientales », prennent à leur tour Malacca aux Portugais.
En 1795, les Britanniques s’emparent du territoire malais, avec l’île de Singapour.
En 1815, à la suite du traité de Vienne, Singapour, et tous les territoires malais au nord de Singapour, deviennent britanniques. Le Sabah, et Sarawak, au nord de Bornéo, deviennent britanniques. Les Hollandais reprennent les territoires au sud de Singapour, en 1817, ce qui constitue plus tard l’actuelle Indonésie.
La Malaisie est envahie et occupée par le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale. Les troupes de l’armée impériale japonaise se livrèrent à un très grand nombre d’exactions, faisant en particulier des dizaines de milliers de morts parmi la minorité chinoise.
En 1948, le Parti communiste malais, qui avait représenté le fer de lance de la résistance à l’occupation japonaise, se préparait à mener une guerre de libération contre l’occupation britannique. L’insurrection est toutefois matée après plusieurs années de sévère répression (les soldats coloniaux coupèrent les mains, voire la tête, des rebelles capturés, et déplacèrent un demi-million de personnes dans des camps de concentration). Dans le même temps, Londres promet l’indépendance à des dirigeants jugés modérés, qui élargissent leur base en jouant sur la défiance raciale à l’égard de la minorité chinoise.
La Malaisie actuelle résulte de l’entrée en 1963 des territoires britanniques de Bornéo devenus indépendants, Sabah et Sarawak, dans la fédération de Malaisie, elle-même devenue indépendante en 1957.
Le retrait de Singapour de la fédération de Malaisie, le 9 août 1965 fut vu comme une partition de la Malaisie en deux états, avec la création de l’état de Singapour, majoritairement peuplé de Chinois, et la Malaisie, majoritairement peuplée de Malais musulmans, mais avec une forte minorité de Chinois.
Mahathir Mohamad est à l’origine de plusieurs projets économiques, dont les tours jumelles de Petronas, les tours jumelles les plus grandes au monde (452 m, 200 ascenseurs), qui sont devenus les symboles de la Malaisie moderne.
Fortement frappée en 1997 par la crise monétaire, la Malaisie choisit d’adopter une politique protectionniste. L’économie malaisienne se relève beaucoup plus rapidement que les économies indonésiennes ou thaïlandaises, avec une croissance de 5,4 % en 1999 et de 8 % en 2000.
La principale langue utilisée en Malaisie est le malaisien, qui est la seule ayant statut de langue officielle.e les langues les plus utilisées sont le malaisien (45%), le cantonais(5%), le mandarin (4%), le tamoul(14%) et l’anglais parlé à 30%.
La religion d’État est l’islam du courant sunnite et de l’école chaféite, observé principalement par la majorité malaise (61,3 % de la population).
Le bouddhisme est pratiqué par 19,8 % de la population, principalement au sein de la communauté chinoise, alors que 9,2 % de la population est chrétienne et 6,3 % est hindoue.
Litterature
La littérature malaise classique comprend deux courants : un courant populaire et un courant plus élaboré qui s’est développé dans les cours des sultanats. Les genres littéraires sont variés. Parmi les genres en prose, on trouve le hikayat (épopée), le cerita (récit), le sejarah (histoire) ou silsilah (généalogie) et le undang-undang (recueil de coutumes).
Les pratiques culturelles des peuples aborigènes de la péninsule, du Sarawak et du Sabah sont façonnées en grande partie par la tradition orale. Au Sarawak, des thèmes comme les relations entre individus d’une même tribu (et plus particulièrement avec les ancêtres et le monde des esprits) et leur influence sur la santé et la quête de nourriture, sont les thèmes majeurs de la littérature orale des ethnies aborigènes locales.
Les armes
Depuis l’Antiquité jusqu’au XIXe siècle, les routes maritimes qui favorisent les échanges d’épices, de pierres précieuses et de soie se multiplient.Les armes orientales rapportées de ces contrées lointaines sont des trophées voici le kriss Dapor Bener, d’origine malaisienne.
Source: https://mai.saint-etienne.fr/decouvrir/musee/parcours-de-visites/parcours-armes/kriss-malais
Tissage
Le songket est un tissu traditionnel malaisien tissé à la main par les femmes de la péninsule malaise et Sarawak. Le terme songket provient d’une technique de tissage ornemental, consistant à insérer un fil d’or ou d’argent entre les fils de trame et les fils de chaîne. Les tissus couramment utilisés dans la fabrication de Songket comprennent la soie, le coton et le coton de soie.
Poteries
Elles peuvent etre : le labu sayong,des poteries utilisées pour stocker l’eau.
Le belanga, un pot rond à large bord qui sert à cuire les currys.
Le terenang ceramic, une poterie utilisée pour stocker l’eau dans les temps anciens. il était traditionnellement fabriqué en utilisant une méthode qui prenait beaucoup de temps, qui est la méthode « pincer et presser ».
Sculptures Sur bois
Les sculptures sur bois des Orang Asli « peuple aborigène » en malais) sont une population autochtone hétérogène formant une minorité nationale en Malaisie. Ce sont les plus anciens habitants de la péninsule malaise.)
La cuisine malaisienne est issue de la fusion d’influences locales, indiennes, javanaises et chinoises pour l’essentiel, mais auxquelles s’ajoutent des influences de groupes ethniques locaux de Sabah et Sarawak, des Orang Asli comme des Peranakan. Sans oublier l’apport des migrations antérieures, puis coloniales , qui amènent à la cuisine malaise des touches britanniques, portugaises, hollandaises ou thaïes.
Quelques plats emblématiques
Le poulet satay malaisien
Il est principalement servi sous forme de brochettes. Le satay est une sauce à base de cacahuètes, d’ail et de sauce soja.
Le Mee Rebus
C’est un plat de nouilles aux œufs accompagnées de patate douce, des graines de soja, de crevettes et de cacahuètes, dans une sauce à base de curry.
Le Putu Bambu
Un succulent dessert!
C’est une bouchée préparée dans un tube de bambou et à base de sucre de palme et d’une farine de riz avec un colorant de feuille de pandan vert , de tapioca. Il est cuit à la vapeur , sorti du tube de bambou puis roulé dans de la noix de coco râpée pour être prêt à être servi.
George Town est la capitale multiculturelle colorée de l’île malaisienne de Penang. Ancien pôle commercial du détroit de Malacca, la ville est réputée pour ses bâtiments coloniaux britanniques, ses shophouses chinoises et ses mosquées. Au-delà de la vieille ville, George Town est une ville moderne avec des gratte-ciel et des centres commerciaux. La colline verdoyante de Penang Hill, comportant des sentiers de randonnée et un funiculaire, surplombe la ville.
Malacca (ou Bandar Melaka) est la capitale de l’État côtier de Malacca situé dans le sud-ouest de la Malaisie. Au centre, Jonker Walk, principale artère de Chinatown, est connue pour ses boutiques d’antiquités et son marché nocturne. Situé à proximité, le temple chinois Cheng Hoon Teng, richement décoré et aux nombreuses salles de prière, date du XVIIe siècle. La mosquée Kampung Kling, datant du XVIIIe siècle, présente un style javanais et est dotée d’un toit vert à trois niveaux.
Le Parc national du Gunung Mulu (52 864 ha), dans l’État de Sarawak sur l’île de Bornéo, constitue la région karstique tropicale la plus étudiée au monde. Le parc contient 17 zones de végétation comportant environ 3 500 espèces de plantes vasculaires. Il est considéré comme l’un des sites les plus riches au monde pour les palmiers, avec 109 espèces de 20 genres décrites. Le sommet du Gunung Mulu, un pic karstique haut de 2 377 m, domine le parc. Au moins 295 km de grottes explorées offrent un spectacle extraordinaire avec des millions de salanganes et de chauves-souris. La salle du Sarawak, qui mesure 600 m sur 415 m et 80 m de haut, est la plus grande salle souterraine connue au monde.
Ce parc, situé dans l’Etat de Sabah, au nord de l’île de Bornéo, est dominé par le mont Kinabalu (4 095 m), la plus haute montagne entre la chaîne de l’Himalaya et la Nouvelle-Guinée. Il présente un large éventail d’habitats: riches forêts ombrophiles tropicales de plaine et de colline, forêt tropicale de montagne, et, plus haut en altitude, forêts subalpines et buissons sempervirentes. Le Parc du Kinabalu a été désigné comme le Centre de diversité des plantes pour la région de l’Asie du Sud-Est. Il est exceptionnellement riche en espèces, présentant des éléments des flores himalayenne, chinoise, australienne, malaise et pantropicale.
Explorée par le Britannique William Cameron (explorateur) en 1885, les Cameron Highlands deviennent une station de montagne dès les années 1930. De nombreuses plantations de thé sont également développées. La région est devenue un site touristique important.
Le nom perhentian signifie « point d’arrêt » en malais, et les îles ont longtemps été une étape pour les commerçants naviguant entre Bangkok et la Malaisie. Les îles sont habitées par des pêcheurs depuis des siècles, mais c’est aujourd’hui le tourisme qui représente la majeure partie des activités économiques.
Les deux îles principales sont bordées de plages de sable blanc. Les récifs et les eaux cristallines abritent une grande variété de coraux, tortues de mer, méduses, requins de récifs et petits poissons. L’altitude maximale des îles est d’environ 100 m, et elles sont uniformément couvertes de forêt tropicale côtière, avec quelques pistes et sentiers allant à l’intérieur. Il n’y a pas de routes sur les deux îles et les seuls moyens de transport sont la marche et le bateau-taxi.
Le parc national de Malaisie est le plus ancien et le plus grand parc naturel national situé en Malaisie péninsulaire. Ce parc national renferme ce que les scientifiques considèrent comme l’une des plus anciennes forêts tropicales du monde. On estime qu’elle existe depuis 130 millions d’années. Cette grande zone protégée héberge un écosystème riche et complexe. De nombreuses activités sont proposées aux touristes pour découvrir le parc. Ainsi, des chemins balisés sont aménagés à l’intérieur de la forêt pour observer l’environnement naturel. Il est même possible d’emprunter un pont suspendu au niveau de la canopée pour admirer la forêt de haut. Il s’agit du plus grand pont suspendu du monde.
Le Sarawak Cultural Village se trouve au pied du mont Santubong. Entouré de forêt tropicale, ce musée vivant offre aux visiteurs un aperçu de la culture et des traditions des 7 groupes ethniques les plus importants du Sarawak. Ici, vous avez une idée de ce qu’était la vie au Sarawak grâce aux répliques de maisons longues et d’autres habitations traditionnelles, ainsi que des démonstrations d’activités quotidiennes à cette époque telles que forger des machettes, préparer des collations typiques ou utiliser une sarbacane. Un spectacle culturel qui vous rapproche de la musique traditionnelle, des chants et des danses des différents groupes ethniques. Laissez-vous envoûter par les vêtements colorés, les mouvements rythmiques et parfois même les performances acrobatiques des danseurs locaux!
Ville mondiale, Kuala Lumpur a vu se développer de nombreux gratte-ciel dans son quartier d’affaires, dont les tours Petronas, qui furent les plus hautes du monde. Son développement industriel s’est fait notamment autour des nouvelles technologies et de la finance.
Son nom, signifiant « confluent vaseux », s’explique par sa situation au confluent de deux cours d’eau : le fleuve Kelang, le plus important, et l’un de ses affluents, le Gombak. Son climat est de type équatorial, avec des températures moyennes et des précipitations très élevées toute l’année. Ville cosmopolite, Kuala Lumpur présente la particularité d’être peuplée à 43 % de Chinois, soit presque autant que de Malais (45 %) ; elle constitue ainsi une sorte d’enclave bouddhiste dans un pays majoritairement musulman. La ville compte aussi des monuments datant de l’époque coloniale britannique, comme la gare de Kuala Lumpur et l’édifice Sultan Abdul Samad.
Le mont Kinabalu, est une montagne de Malaisie, point culminant de ce pays et de l’île de Bornéo avec 4 095 mètres d’altitude. Sa grande biodiversité est rendue possible par une géologie et un climat uniques. Elle comprend de nombreuses espèces endémiques, notamment plusieurs plantes carnivores ainsi que de nombreuses orchidées, protégées par le parc national du Kinabalu. Cette richesse a été découverte par Hugh Low et John Whitehead au milieu du XIXe siècle, ce dernier étant l’auteur de la première ascension de la cime principale en 1888. Il s’agit de l’une des montagnes les plus fréquentées d’Asie du Sud-Est.
Kota Bharu est une ville de Malaisie fondée en 1844 par le sultan Muhammad II du Kelantan. Elle est la capitale de l’État du Kelantan depuis 1844, dont elle est aussi la plus grande ville. Son nom signifie « nouvelle ville » ou « nouveau fort » en malais. Si vous voulez vous imprégner de la culture du pays, vous pouvez admirer les artisans fabriquer des cerfs-volants, des marionnettes, des batiks, aller au centre culturel et apprécier les danses, le jeu de boules… Dans le Musée War Memorial vous y trouverez des photos et documents en rapport avec la seconde guerre mondiale et aussi une très belle collection d’épées japonaises.
Les grottes de Batu sont un ensemble de grottes, dont certaines ont été aménagées en temples, dans une colline calcaire située à 10 kilomètres au nord de Kuala Lumpur.
Ces grottes constituent le plus grand sanctuaire hindou hors de l’Inde. Consacrées à Murugan (Kârttikeya), ces sanctuaires comptent parmi les plus populaires qui soient en dehors de l’Inde. C’est le point de rassemblement lors de la grande fête hindoue de Thaipusam en Malaisie. Il y a beaucoup d’animaux dans cette grotte, comme des singes, des poules, des coqs, etc.
Ce parc a été créé en 1938-1939 sous le nom de Parc national du roi George V, après que Theodore Hubback eut fait pression sur les sultans de Pahang, Terengganu et Kelantan pour qu’ils mettent de côté une parcelle de terre couvrant les trois États en vue de créer une zone protégée. Il a été rebaptisé Taman Negara après l’indépendance, ce qui signifie « parc national » en malais. D’une superficie totale de 4 343 km2, Taman Negara est l’une des plus anciennes forêts pluviales à feuilles caduques du monde, dont l’âge est estimé à plus de 130 millions d’années.
C’est une forêt tropicale humide protégée située dans un massif sur les contreforts sud des collines de Tenasserim, à cheval sur les districts de Segamat et de Mersing dans le nord-est de Johor et sur le district de Rompin dans le sud de Pahang. Il couvre une superficie totale d’environ 870 km2, ce qui en fait le deuxième plus grand parc national de Malaisie péninsulaire après Taman Negara. Il compte environ 26 km de sentiers. C’est le deuxième parc national proclamé par le gouvernement de Malaisie. Gunung Besar, le deuxième plus haut sommet de Johor, se trouve dans le parc.
Le parc tire son nom des rivières Endau et Rompin qui le traversent. Les autres rivières qui traversent le parc sont la Segamat, la Selai et la Jasin.
Il existe deux points d’entrée officiels dans le parc : l’entrée Kampung Peta, située le long de la frontière orientale dans le district de Mersing, et l’entrée Selai, située à la frontière sud-ouest dans le district de Segamat.
Pendant la mousson, de novembre à mars, le parc est fermé au public. La pêche est interdite de septembre à octobre pendant la saison des amours.
Ce parc s’étend sur 1 213 hectares de terre et de mer et est utilisé par les scientifiques, les chercheurs et les amoureux de la nature pour explorer ses trésors naturels.
Anciennement connu sous le nom de Pantai Acheh Forest Reserve, ce site vierge abrite 417 espèces de flore et 143 espèces de faune. La réserve forestière de Pantai Acheh, située à l’extrémité nord-ouest de l’île de Penang, a été déclarée parc national de Penang en avril 2003.
Le parc national de Penang est la première zone protégée légalement déclarée en vertu de la loi malaisienne sur les parcs nationaux de 1980, ce qui témoigne des efforts déployés par l’État et le gouvernement fédéral en matière de protection de l’environnement.
Le parc national de Penang a été créé pour préserver et protéger la flore et la faune ainsi que les objets présentant un intérêt géologique, archéologique, historique, ethnologique, scientifique et pittoresque.
Les attractions naturelles du parc national de Pulau Pinang comprennent les forêts de diptérocarpes des collines et des basses terres, les zones de forêts de mangroves, les habitats de plages de sable, un lac méromictique saisonnier et les mers côtières ouvertes. Les peuplements d’arbres seraya (Shorea curtisii), caractéristique commune des forêts diptérocarpacées côtières, peuvent être facilement observés sur les pentes abruptes autour de Muka Head. Plus de 1 000 espèces de plantes ont été recensées et sont dominées par les familles Dipterocarpaceae, Leguminosae, Apocynaceae, Anacardiaceae, Euphorbiaceae et Moraceae.
Le parc national du mont Ledang est un parc national situé dans le district de Tangkak. Il abrite le sommet du mont Ledang, qui culmine à 1 276 mètres, et a été créé en 2005. Il est aujourd’hui l’un des buts de randonnée les plus célèbres de Johor.
Le mont Ledang est également imprégné de légendes. De nombreuses légendes sont centrées sur la princesse mythique Puteri Gunung Ledang.
Environ 160 espèces d’oiseaux ont été recensées dans le parc.
Sur l’île de Bornéo, il existe d’excellents parcours pour faire du trekking en plein milieu de la jungle. À titre d’illustration, à Sabah, il est conseillé de visiter le parc national du Kinabalu. Ce parc abrite de nombreuses espèces endémiques d’insectes et d’amphibiens, plus de 326 espèces d’oiseaux et une centaine d’espèces de mammifères (orang-outan, belette malaise, loutre cendrée…).
Vous pouvez faire l’ascension du mont Kinabalu qui culmine à 4 095 m.
La présence d’un guide est obligatoire, il n’est pas possible de se balader dans le parc sans guide, et encore moins tenter l’ascension. L’ascension se fait en 2 jours : de la Tipohon Gate au refuge, nuit au refuge, puis le sommet et la descente dans la même journée.
Il faut réserver son ascension plusieurs semaines à l’avance car c’est un des sommets les plus gravis d’Asie du Sud Est, environ 200€ par personne : entrée dans le parc, le guide, une nuit en refuge (à 3 200m). Durant le parcours vous apercevrez une végétation luxuriante composée entre autres d’orchidées, d’eucalyptus et de plantes carnivores. Du côté de Sarawak, le Parc national du Gunung Mulu propose un impressionnant réseau de cavités sous-terraines qu’on peut visiter.
Situé sur la péninsule de Malaisie, c’est l’un des meilleurs endroits pour faire du trekking. Vous explorez l’une des plus vieilles forêts tropicales au monde. Son âge est estimé à plus de 130 millions d’années.
Il est possible d’y faire différents programmes, des courtes à plusieurs jours. Parmi les excursions guidées, il est conseillé de se rendre au centre d’observation Bukit Teresek , située à 334 m. Une vue panoramique sur un paysage surprenant vous y attend.
La Canopy Walkway, vous propose un pont suspendu de 500 m de long à une hauteur de 40 m. En chemin, vous pourrez admirer une admirable biodiversité : 10 000 espèces de plantes, 350 espèces d’oiseaux, plus de 200 sortes de mammifères, plus de 60 sortes de reptiles, plus de de cent espèces de poissons!
Pour le transport par train, 5 classes sont proposées au public: Economie – sièges banquettes, Affaires – sièges individuels, Executif – sièges individuels et inclinables, Priority – sièges exclusifs et inclinables et Luxe – sièges couchette. Certains trains sont équipés et comportent des installations personnalisées, avec capacité en passagers, aménagement intérieur et décoration à thème variables. Ces trains appelés Kereta Wisata ou “trains touristiques” sont les Kereta Nusantara, Kereta Sumatera, Kereta Jawa, Kereta Bali, Kereta Toraja, Kereta Priority et Kereta Imperial.
Le train de la jungle est l’un des voyages les plus magnifiques de l’Asie du Sud-Est. Le trajet est d’environ 526 km. Le train passe par plusieurs rivières et montagnes.
Le train est officiellement connu sous le nom de East Coast Railway Line.
Le train de la jungle relie la ville de Johor Bahru au sud à Tumpat sur la côte Est.
Quant à son surnom du « train de la jungle », il provient du fait que le train traverse la jungle tropicale. Ne pas voyager de nuit, pour ne pas manquer ce spectacle.
La Malaisie regorge de grandes forêts qui abritent des plantations de palmiers à huile.
Le prix de la location à la journée va de 30 à 40 €, et l’avantage c’est que l’essence n’est pas chère, vous faites le plein avec 20 €. Si vous êtes une famille de 4 ou 5 personnes, c’est aussi très certainement le moyen le plus rentable de vous déplacer.
Attention conduite à gauche, permis international obligatoire.
Il est relativement simple de louer une moto/un scooter, et bon marché (10€ par jour). Il faut avoir le permis international (comme pour louer une voiture). Faites attention à être bien assuré, la circulation est très dense en ville.
Le réseau de bus est dense et fonctionne bien. Il dessert toutes les grandes villes de la péninsule, à une fréquence assez élevée . Vous pouvez opter pour les bus de nuit sur les longues distances. Ils sont confortables et climatisés.Voyager en bus peut être long, mais c’est peu coûteux ; et c’est parfois la seule option pour se rendre à certains endroits.
Il y a 2 lignes principales : une qui longe la côte Ouest de la Thaïlande, en passant par Penang, Ipoh, et KL. Et l’autre qui traverse la péninsule en diagonale, du Nord-Est (Kota Bharu) au Sud.
Il est possible de se déplacer en taxi sur des longues distances, mais cela reste relativement coûteux. Si vous souhaitez l’utiliser, sachez qu’il est tout à fait possible de négocier les prix. Les taxis urbains sont nombreux, et peu coûteux.
Les speed – boat et ferry sont les seuls moyens pour vous rendre sur les îles.
Retrouvez des informations complémentaires actualisées sur le Tourisme en Malaisie sur notre Blog Tourismer.io
La Global Peace Foundation promeut une approche innovante et fondée sur les valeurs de la consolidation de la paix, guidée par la vision que tous les êtres humains sont membres d’une seule famille .
Prix du développement durable JCI Malaisie 2022
Nous avons reçu ce prix pour nos projets autour de l’ODD 6 – Eau propre et assainissement. Les projets comprennent l’accès à l’eau potable, la construction de toilettes et la formation WaSH pour les villages Orang Asli.
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